Interventions sur "transparence"

20 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSébastien Jumel :

...ur des critères clairs, lisibles et rendus publics, afin que les exploitants aient une connaissance parfaite des modalités de calcul. Vous le savez, avec les acheteurs, nous avons affaire à des tueurs de coûts, à des spécialistes de la règle à calcul, se moquant bien des conséquences concrètes que peuvent avoir leurs règles dans la vie de nos exploitations. Cet amendement vise donc à donner de la transparence dans la communication sur le mode de construction des indicateurs.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPierre Dharréville :

...te, concernant l'argument que vous avez employé, monsieur le rapporteur, l'amendement est très clair : il propose que, dans les contrats, le prix soit déterminé et déterminable par une formule claire et accessible. Il n'est pas dit que le prix doive être écrit en toutes lettres, c'est la formule qui doit être clairement inscrite dans le contrat. C'est cela qui nous intéresse. Nous recherchons la transparence. La loi doit protéger celui des deux contractants qui est le plus en difficulté. C'est ce que nous cherchons à faire, et la loi peut le faire.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAndré Chassaigne :

...mmission d'examen des pratiques commerciales, la CEPC. On s'imagine que cette dernière est là uniquement pour émettre des avis, des recommandations sur les contrats, sur les pratiques commerciales, notamment entre producteurs et acheteurs. Or, parmi les missions qui lui sont confiées, figure le rôle d'observatoire régulier des pratiques et des contrats. Il n'y a donc aucun obstacle à instaurer la transparence dans les contrats qui peuvent être signés et dans le contenu de ces contrats. Par ailleurs, avant même le règlement « Omnibus », qui a fait entrer cela très clairement dans la réglementation européenne, une décision de la Cour de justice de l'Union européenne, en date du 14 novembre 2017, sur la fameuse affaire des endives dont on a beaucoup parlé, a précisé clairement, nettement, qu'une entente...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJérôme Nury :

Pour y voir plus clair dans les prix que dans vos explications, madame la présidente, nous voudrions pouvoir garantir la transparence et qu'il n'y ait plus de formule de calcul de prix incompréhensible, basée sur des équations du second degré alambiquées. Cet amendement tend à créer une véritable obligation d'information pour l'acheteur à l'égard des producteurs. On ne peut plus accepter que les contrats contiennent des clauses de calcul de prix incompréhensible. Si on veut un vrai retour à l'équilibre des relations entre les ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMonique Limon :

Cet amendement vise à renforcer la transparence et la pédagogie dans la fixation des indicateurs en proposant qu'un support écrit clair et accessible aux parties soit inclus dans chaque contrat afin qu'elles puissent prendre connaissance des choix ayant influencé la détermination du prix.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAnne-Laure Cattelot :

Cet amendement consiste simplement à favoriser la transparence dans les relations commerciales et les négociations. Il ne s'agit absolument pas de favoriser ce qui peut relever juridiquement de l'entente, comme on l'a parfois vu, mais d'accroître la transparence dans le processus de construction du prix, afin que tout producteur individuel puisse s'informer d'un tel processus de construction même s'il délègue une partie de la responsabilité aux organisations...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAnne-Laure Cattelot :

Compte tenu des garanties de transparence – telle était l'attente des producteurs – qui ont été mises en évidence dans les différents cas exposés, je retire mon amendement.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSébastien Jumel :

Nous essayons d'entendre vos arguments d'une manière pragmatique et ouverte, monsieur le ministre. Vous dites que nos amendements visant à confier à des organismes publics les modalités de construction des indicateurs vont trop loin, qu'ils tendent à une forme d'économie administrée. Nous déposons ensuite des amendements pour renforcer la transparence et rendre publics indicateurs et modalités de calcul et vous dites que c'est contraire au secret des affaires, du business. Nous présentons maintenant un amendement de repli prévoyant simplement la transmission à un organisme public, dans un délai d'un mois, des modalités de construction des prix. Je rappelle qu'un tel organisme a une obligation de discrétion, de réserve, de secret, et que cette...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Baptiste Moreau, rapporteur de la commission des affaires économiques :

Une fois de plus, on déresponsabilise l'ensemble des acteurs, ce qui ne correspond pas du tout à la logique des états généraux de l'alimentation. Au-delà, cet amendement est complètement inopérant. Compte tenu des moyens actuels de l'OFPM et de ses missions de simple observation de la transparence des prix et des marges, il n'est pas possible d'en faire un tiers partie prenante au contrat. Avez-vous seulement conscience du nombre de contrats que cela pourrait représenter et des effectifs qui devraient être embauchés au sein de l'OFPM afin de contrôler l'ensemble des contrats ? Ce que vous proposez relève davantage des responsabilités du médiateur, comme nous le verrons dans les articles s...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Paul Dufrègne :

Afin de garantir aux parties prenantes la transparence nécessaire sur les modalités et les clauses constitutives du contrat, nous demandons que soit adopté cet amendement, qui vise à instaurer la transmission desdits contrats à la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes. Nous considérons que cette instance, par sa neutralité, est en mesure d'assurer les producteurs, en particulier, de la conformité des...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaHuguette Tiegna :

Chers collègues, nous avons tous eu l'occasion de suivre les États généraux de l'alimentation ou de les organiser dans nos départements respectifs. Ils ont fait émerger la demande de nos concitoyens d'une transparence accrue, notamment en matière de formation des prix et d'information des consommateurs. J'évoquerai ici la transparence des relations contractuelles. Je propose de modifier l'alinéa 22 de l'article 1er afin de renforcer la transparence des relations contractuelles entre producteur et acheteur. Ainsi, l'acheteur présentera à l'organisation de producteurs le lien qu'il établit, dans son contrat ava...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMichèle Crouzet :

Le projet de loi vise à inverser la construction du prix et à permettre au producteur de proposer un contrat à l'acheteur. Nous souhaitons par cet amendement renforcer la transparence dans les relations entre le producteur et l'acheteur, en rendant obligatoire l'annexion au contrat ou accord-cadre écrit d'une copie de la proposition initiale soumise à l'acheteur. Il sera ainsi possible de comparer la production faite par le producteur et le contrat finalement signé, et donc de mesurer l'éventuel déséquilibre du rapport de forces entre les différents acteurs.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDino Cinieri :

La construction du prix « en marche avant » doit en effet conduire à recourir, dans tous les contrats de la chaîne, aux indicateurs utilisés dans les contrats passés entre les producteurs et leurs premiers acheteurs. Le texte doit être plus précis afin d'éviter les écueils de la loi relative à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie économique. Il doit reprendre systématiquement les mêmes terminologies, par exemple « prendre compte » plutôt que « faire référence ».

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Baptiste Moreau, rapporteur de la commission des affaires économiques :

Cet amendement porte atteinte au secret des affaires en imposant une transparence totale à chaque étape de négociation du prix. Avis défavorable.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaValérie Bazin-Malgras :

Le déséquilibre des contrats tient souvent à leur manque de lisibilité et au fait qu'ils ne sont pas pleinement compréhensibles pour au moins l'une des parties, généralement la plus « faible ». Le métier principal du producteur est de produire, non de sécuriser juridiquement ses contrats. Pour que cette loi fasse réellement évoluer le rapport de forces, il importe de renforcer les obligations de transparence et d'information en ce qui concerne le prix payé. Tel est l'objet du présent amendement.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarie-Noëlle Battistel :

L'amendement va dans le même sens que le précédent. Il vise à compléter l'alinéa 36. Nous convenons tous que la transparence sur les prix doit être le minimum minimorum de toute relation contractuelle commerciale dans le secteur agricole. Dans ce cadre, l'amendement vise à renforcer la protection de la partie au contrat la plus faible dans la relation commerciale en obligeant davantage l'acheteur en ce qui concerne le prix qui sera effectivement payé au producteur. Il s'agit de reprendre l'obligation d'information ren...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDino Cinieri :

Afin de renforcer la transparence et la protection de la partie la plus faible dans la relation commerciale, l'amendement tend à créer une obligation d'information renforcée sur la tête de l'acheteur à l'égard des producteurs, à l'image de ce qui se pratique en droit de la consommation entre un consommateur et un vendeur professionnel. Le prix devra être lisible et compréhensible pour le producteur, l'organisation de producteurs ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaVéronique Louwagie :

L'obligation d'information renforcée porte sur le prix qui, lorsqu'il est seulement déterminable dans le contrat, devra être lisible et compréhensible pour le producteur, l'OP ou l'association d'OP afin de savoir quel prix sera payée la marchandise. Il s'agit d'un point important en matière de transparence. Or le texte de loi doit contribuer à la lisibilité. La proposition permettra en outre d'anticiper et d'introduire une certaine sérénité dans les relations entre les parties.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Claude Bouchet :

Au nom de la transparence et de la protection du plus faible, il faut instaurer en amont une obligation d'information sur le prix. Ayant à coeur de défendre le plus faible, monsieur le ministre, je pense que vous approuverez l'amendement.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Marie Fiévet :

Afin de renforcer la transparence et la protection de la partie la plus faible dans la relation commerciale, il est proposé de créer une obligation d'information renforcée sur la tête de l'acheteur à l'égard des producteurs, à l'image de ce qu'il se pratique en droit de la consommation. Cette obligation d'information renforcée porte sur le prix qui, lorsqu'il est seulement déterminable dans le contrat, devra être lisible et comp...