Interventions sur "devons"

4 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Baptiste Moreau :

En tant qu'agriculteur – précisément, en tant qu'éleveur allaitant – , je vis tous les jours l'urgence de la situation. Nous avons besoin d'un véritable choc pour rendre à nos producteurs leur compétitivité. Il faut une action coordonnée et collective de l'État et de toutes les filières. Nous devons aller vite, c'est sûr, mais de manière concertée et efficace. Nous avons créé, il y a deux mois, un groupe de parlementaires de la majorité qui travaille sur les sujets agricoles, et qui compte aujourd'hui une centaine de membres. Les huit commissions permanentes et l'ensemble des territoires agricoles français y sont représentés, ce qui illustre l'importance de ces sujets aux yeux des députés d...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Baptiste Moreau :

...oducteurs. Parallèlement à cela, il faut renforcer la transparence de la gouvernance au sein des coopératives. Il doit y avoir une réaffirmation de leur premier objectif, qui est la juste rémunération de leurs producteurs. Il faudra certainement également revoir la gouvernance et le fonctionnement du Haut conseil de la coopération agricole. Autre mesure forte annoncée par notre Président : nous devons permettre aux organisations de producteurs et aux interprofessions d'établir des indicateurs de marché et des coûts de production par filière afin de lutter contre les prix abusivement bas. Pour mettre en oeuvre les ambitions portées par les EGA, l'Observatoire de la formation des prix et des marges doit être renforcé dans ses moyens et ses prérogatives afin d'appuyer les travaux des interprofes...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDominique Potier :

...ent, la société est en débat. J'ai pu le constater en tant que président d'atelier. Les positions sont toutes convergentes, quelles que soient les sensibilités politiques – j'ai animé mon atelier avec Sophie Primas, membre du groupe Les Républicains du Sénat. Le travail de vérité en cours est de grande qualité, à l'instar du Grenelle de l'environnement sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy. Nous devons donner une chance au débat de la société, qui dialogue sur l'avenir d'une nourriture de qualité pour tous, qui respecte la dignité des paysans. Deuxièmement, la loi Sapin 2, adoptée à l'unanimité, entrera en application le 1er novembre, et nous l'évaluerons pour la corriger lors du rendez-vous législatif proposé par le Président de la République. On ne va pas réinventer l'eau chaude !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaCélia de Lavergne :

Ils y participent en consacrant leur temps, leurs compétences et leur énergie à la recherche de solutions ambitieuses pour l'agriculture et l'alimentation de demain. Nous devons respecter ce processus. Respectons-le, respectez-le ! Ces États généraux sont ambitieux : quatorze groupes de travail, plus de mille professionnels mobilisés, des dizaines de milliers d'heures de travaux, une plateforme numérique avec plus de douze mille propositions et cent mille votants, des événements en région, en prise directe avec nos territoires et leurs réalités, avec nos agriculteurs, pa...