Les amendements de Frédérique Dumas pour ce dossier

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Pour vous, il s'agit d'une loi de programmation et la majorité nous dit de ne pas être maximalistes. Comme mon collègue Jean-Paul Lecoq lors de l'examen en commission, nous demandons simplement de retirer le mot « programmation » puisqu'il ne s'agit pas d'une loi de programmation. Ce n'est pas parce qu'on évoque les années 2022 à 2025 – sans po...

On a beau dire qu'il est clair, le débat est confus. En commission, le ministre s'est d'abord montré très négatif, comme le rapporteur, avant d'affirmer que le ratio de 0,7 % était atteint, preuve à l'appui. Puis ce ratio nous a été présenté comme une mesure de l'effort consenti avant que le rapporteur ne nous dise qu'il n'est pas l'alpha et l'...

Vous avez vous-mêmes reconnu que des risques existent et le président de la commission a proposé que nous nous penchions sur cette question. En la matière, nous ne sommes pas les meilleurs, monsieur le rapporteur : le Luxembourg, la Suède, la Norvège, le Danemark, l'Allemagne, les Pays-Bas et le Royaume-Uni sont devant nous, y compris une fois ...

Nous n'allons pas refaire le débat. S'il est important qu'il y ait un référentiel d'efforts, il est essentiel – je rejoins M. Julien-Laferrière – de prendre des engagements en valeur absolue, afin de garantir la prévisibilité. Il serait dommage de nous affranchir de ce critère, alors que nous l'avons retenu pour critiquer la position des Anglai...

La commission des affaires étrangères, sur proposition de son président, a pris l'engagement, qui pourrait être répété ici, de mener un travail intellectuel sur ce que recouvrent précisément les composantes multilatérale et bilatérale de l'aide publique au développement, en essayant de comprendre pourquoi il en est ainsi. Peut-être les choses n...