Les 3 % de déficit : c'est Maastricht. On pouvait être pour ou contre Maastricht, se demander s'il fallait ou non voter pour, mais le débat n'a maintenant plus lieu d'être. Aujourd'hui, à chaque élection, notamment à l'élection présidentielle, des candidats tout à fait respectables dont vous et M. Mélenchon proposent de revenir contre ces dispositions mais le peuple ne les suit pas. Soyons démocrates ! Le peuple souhaite donc que nous poursuivions notre engagement européen