Madame la rapporteure, pourquoi faire peu quand on peut faire beaucoup ? Rappelons l'importance des enjeux et la dimension du problème, encore mises en évidence par l'actualité. Nous saluons une première avancée mais, si le texte revient devant nous en nouvelle lecture, c'est qu'il peut encore être amélioré. Je déplore que ni vous ni le Gouvernement ne soyez prêts à le faire.
Il faudra donc malheureusement y revenir au cours de la législature, pour des affaires, je l'espère, moins graves que celle que nous connaissons aujourd'hui. Votre manque de volonté politique nous conduira nécessairement à légiférer une nouvelle fois.