C'est ce que nous faisons aujourd'hui en fluidifiant l'acte de construire et ce que nous ferons demain en luttant contre la spéculation foncière, comme je l'appelais de mes voeux ici même il y a quelques jours, monsieur le secrétaire d'État.
Telle est l'ambition profonde de la majorité : permettre le parcours résidentiel. Pour ce faire, plutôt que de prôner l'arrosage automatique et indifférencié d'argent public – ce que ce texte nous propose à nouveau aujourd'hui – , nous devons privilégier des outils soutenant l'accession sociale – un peu moins de Pinel, un peu plus de PTZ pour respecter les équilibres – et offrir enfin de nouvelles chances à nos concitoyens.