Il s'agit d'un enseignement facultatif basé sur l'adhésion de l'élève et de sa famille : on ne peut pas obliger les habitants de la Corse à apprendre le corse. L'enseignement du corse doit être proposé dans le cadre des vingt-quatre heures hebdomadaires, mais attention : c'est au détriment d'autres possibilités d'apprentissage des langues vivantes dans le cadre de ce volume horaire contraint.
Pour ce qui est de l'Alsace, mais également des autres régions dans lesquelles les langues et cultures régionales sont enseignées, ce qui va de la Bretagne à l'Occitanie en passant par la Polynésie française, le Gouvernement souhaite garder le cadre actuel, caractérisé par sa souplesse.