Je veux répondre au président de la commission des finances, et le rassurer : en aucun cas, il ne s'agit d'un jeu, ni d'une volonté d'être méprisant à l'égard de quiconque. Dans le cas de ce texte, nous travaillons dans des conditions d'urgence telles que nous avons privilégié une écriture globale. J'entends la remarque que vous avez formulée, nous veillerons pour les textes à venir à nous montrer moins « écrasants », si vous le souhaitez. Dans l'attente, soyez indulgents, en raison de l'urgence dans laquelle nous travaillons.