Le premier de ces critères sera la pérennité de l'emploi. Vous l'avez dit, madame Duby-Muller, nous traversons une crise économique sans précédent. Faut-il rappeler que les salariés de Suez, notamment les 30 000 personnes employées en France, ont été en première ligne au plus fort de l'épidémie de coronavirus, que ce soit en matière de traitement des déchets ou de gestion de l'accès à l'eau ? Suez est incontestablement l'un de nos fleurons industriels, fort de compétences de pointe ; nous souhaitons le préserver, et lui préserver un ancrage territorial fort.