Une grande partie de la population carcérale étant illettrée ou éprouvant de grandes difficultés de lecture et d'écriture, ces amendements visent à les faire bénéficier de dispositifs d'accès au droit et de l'aide d'écrivains publics bénévoles. Ceux-ci sont présents dans certains endroits mais pas partout.
Il faut également veiller à garantir l'accès à une documentation mise à jour dans les bibliothèques des établissements de détention.