Interventions sur "publique"

91 interventions trouvées.

Élisabeth Borne, Première ministre :

…exprime une réalité de notre pays, de ses craintes et de ses espoirs. Nous mesurons tous l'ampleur de la tâche : les Français à protéger, la République à défendre, notre pays à rassembler,…

Élisabeth Borne, Première ministre :

…la planète à préserver. C'est le sens de l'action du Président de la République depuis cinq ans ; c'est notre mission collective, au Gouvernement comme sur ces bancs. Avec vous, avec tout le Gouvernement, avec nos concitoyens, nous réussirons ; j'y suis déterminée. Ces dernières semaines, à quatre reprises, les Françaises et les Français se sont exprimés. Par le résultat des urnes, ils nous demandent d'agir, et d'agir autrement. Par leur message, ils nous demandent de prend...

Élisabeth Borne, Première ministre :

Le compromis, ce n'est pas se compromettre ; c'est accepter chacun de faire un pas vers l'autre. Cela ne signifie nullement l'effacement de nos différences ou le renoncement à nos convictions – les clivages existent et ils continueront à exister. Bâtir ensemble ne signifie pas renoncer à son identité. Vous le savez, la mienne a pour socle inaltérable les valeurs de notre République : la liberté, l'égalité, la fraternité, la laïcité.

Élisabeth Borne, Première ministre :

Elle n'est pas, et ne sera pas, le signe de l'impuissance. Rappelons-nous qu'en 1958, les gaullistes ne sont pas majoritaires à l'Assemblée nationale quand, aux premières heures de la Vepublique, ils créent les CHU, les centres hospitaliers universitaires, et l'assurance chômage.

Élisabeth Borne, Première ministre :

Ces dernières semaines, le Président de la République – garant de nos institutions – et moi-même, nous avons consulté et écouté. Nous avons proposé plusieurs manières de faire, dans l'urgence comme pour les années à venir. Le résultat de nos échanges est clair : une nouvelle page de notre histoire politique et parlementaire commence, celle des majorités de projet. Avec mon gouvernement, j'en serai l'infatigable bâtisseuse. Je sais combien nous somme...

Élisabeth Borne, Première ministre :

…car je crois fermement au dépassement entamé il y a cinq ans par le Président de la République.

Élisabeth Borne, Première ministre :

...rse où les parcours et les expériences se complètent et se renforcent ; fière et impatiente de commencer avec vous un travail de fond et d'idées, projet par projet, au service des Français. Nous mènerons pour chaque sujet une concertation dense. Nous aborderons chaque texte dans un esprit de dialogue, de compromis et d'ouverture. Nous nous inscrirons dans le cadre défini par le Président de la République et agirons selon les valeurs qu'il porte.

Élisabeth Borne, Première ministre :

Je l'ai dit aux présidents de groupe de cette assemblée : nous sommes prêts à entendre les propositions de chacun, à en débattre et, si nous en partageons les objectifs et les valeurs, à amender notre projet. Cette méthode de travail, nous devrons l'incarner pour réfléchir collectivement à l'avenir et aux évolutions de nos institutions. Sous l'égide du Président de la République, une commission transpartisane sera lancée à la rentrée pour s'y consacrer. Cette méthode, nous devrons la porter au-delà des murs de cette assemblée. Nous associerons davantage les élus locaux à nos réflexions et à nos décisions ; ils sont le ciment de notre République.

Élisabeth Borne, Première ministre :

...en lien étroit avec les organisations syndicales et patronales – nous avons besoin d'elles, et elles savent qu'elles trouveront en moi une interlocutrice franche, constructive et déterminée. Associer toutes les forces vives du pays dans un dialogue renouvelé et en partageant les opportunités comme les contraintes, c'est le sens du Conseil national de la refondation voulu par le Président de la République.

Élisabeth Borne, Première ministre :

...bilité historique vis-à-vis de nos concitoyens : responsabilité dans la manière d'agir, dans les réponses à offrir, dans les résultats à apporter. À partir du cadre choisi par les Français, je vous propose de bâtir ensemble. Notre premier défi, et je sais que cela fait consensus parmi nous, c'est de répondre de façon urgente à la question du pouvoir d'achat. Sous l'impulsion du Président de la République, de nombreuses mesures ont été prises depuis l'automne dernier pour protéger les Français de l'augmentation des prix.

Élisabeth Borne, Première ministre :

en ouvrant la caution publique aux classes moyennes ; en construisant davantage de logements dans les zones en tension ; en concluant un pacte de confiance avec les acteurs du logement social ; en proposant aux collectivités un nouvel acte de décentralisation pour concentrer les moyens et les responsabilités à l'échelle des bassins de vie tout en veillant à ce qu'elles permettent réellement aux projets de sortir de terre.

Élisabeth Borne, Première ministre :

L'équilibre de nos finances publiques est une question de souveraineté. Je sais que beaucoup y sont attachés sur ces bancs – j'en ai parlé notamment avec le président Marleix.

Élisabeth Borne, Première ministre :

Enfin, notre troisième principe est le respect ferme de l'engagement pris par le Président de la République devant les Français : pas de hausse d'impôts. Nous devons cesser de croire qu'une taxe est la solution de chaque défi. Pas de hausse d'impôts !

Élisabeth Borne, Première ministre :

Pour y parvenir, tout mon gouvernement est mobilisé. Le Président de la République m'a chargée de la planification écologique ; chaque ministre aura une feuille de route « climat et biodiversité ».

Élisabeth Borne, Première ministre :

...été créés lors du précédent quinquennat ; il faut maintenant pleinement s'en emparer. Vous le voyez, derrière les mots, derrière les engagements, l'urgence nous impose des actes rapides. Tout ne viendra pas de l'État seul, chacun devra y prendre sa part ; c'est la condition de la réussite. Mesdames et messieurs, au cours de nos échanges, j'ai vu se dégager une autre volonté commune : bâtir la République de l'égalité des chances.

Élisabeth Borne, Première ministre :

Alors, au cœur de l'engagement du Président de la République et de mon gouvernement, se trouve une volonté de briser les inégalités de destin, de n'accepter aucune assignation sociale ou culturelle, de permettre à chacun de choisir son avenir, de tracer les chemins de l'émancipation.

Élisabeth Borne, Première ministre :

La République de l'égalité des chances se construit dès la naissance. L'enfance sera une priorité de ce quinquennat, dans la droite ligne du chantier des 1 000 premiers jours. Nous répondrons à ce qui est aujourd'hui la première préoccupation des parents : le manque de solution de garde pour les enfants, notamment ceux de moins de trois ans.

Élisabeth Borne, Première ministre :

Bâtir la République de l'égalité des chances, c'est agir en priorité pour l'école et pour la jeunesse. C'est un chantier essentiel ; c'est là que tout se joue. Nous continuerons la refondation de l'école entamée lors du dernier quinquennat.

Élisabeth Borne, Première ministre :

Les enseignants sont le cœur battant de la République et, grâce à leur mobilisation durant la crise sanitaire, ils ont permis à notre école de rester ouverte.

Élisabeth Borne, Première ministre :

…adapter leur formation, soutenir les projets collectifs. Mais il serait illusoire de croire que les solutions seraient identiques partout sur tous les territoires. L'égalité réelle, c'est adapter notre action en fonction des situations locales et des besoins des élèves. Le plan « Marseille en grand », lancé l'an dernier par le Président de la République, a ouvert la voie….