Interventions sur "république de l'égalité"

10 interventions trouvées.

Élisabeth Borne, Première ministre :

...t été créés lors du précédent quinquennat ; il faut maintenant pleinement s'en emparer. Vous le voyez, derrière les mots, derrière les engagements, l'urgence nous impose des actes rapides. Tout ne viendra pas de l'État seul, chacun devra y prendre sa part ; c'est la condition de la réussite. Mesdames et messieurs, au cours de nos échanges, j'ai vu se dégager une autre volonté commune : bâtir la République de l'égalité des chances.

Élisabeth Borne, Première ministre :

La République de l'égalité des chances se construit dès la naissance. L'enfance sera une priorité de ce quinquennat, dans la droite ligne du chantier des 1 000 premiers jours. Nous répondrons à ce qui est aujourd'hui la première préoccupation des parents : le manque de solution de garde pour les enfants, notamment ceux de moins de trois ans.

Élisabeth Borne, Première ministre :

Bâtir la République de l'égalité des chances, c'est agir en priorité pour l'école et pour la jeunesse. C'est un chantier essentiel ; c'est là que tout se joue. Nous continuerons la refondation de l'école entamée lors du dernier quinquennat.

Élisabeth Borne, Première ministre :

Bâtir la République de l'égalité des chances, c'est offrir une santé de qualité à toutes et tous. Les Français le savent et nous le disent : nous faisons face à un manque criant de professionnels de santé.

Élisabeth Borne, Première ministre :

Je veux ici aussi rappeler que l'épidémie de covid-19 n'est pas finie, mais qu'elle reprend même nettement ces derniers jours. Si notre système de santé est actuellement préservé, nous devons rester vigilants et prêts à agir. Bâtir la République de l'égalité des chances, c'est faire de la France un pays où l'on vieillit bien, qui favorise l'espérance de vie en bonne santé, qui assure une prise en charge de qualité à domicile ou en maison de retraite. Notre première mission : donner aux personnes âgées la capacité de vieillir sereinement chez elles. Nous y parviendrons grâce au dispositif MaPrimeAdapt' leur permettant d'aménager leur logement. Nous y...

Élisabeth Borne, Première ministre :

... du précédent quinquennat nous avons créé la cinquième branche de la sécurité sociale, nous avons posé les fondements du financement de cette nouvelle solidarité nationale pour le grand âge. Là encore, avec les départements, je vous propose de travailler ensemble à bâtir un service public efficace qui réponde aux besoins des personnes âgées et des familles, au plus près des territoires. Bâtir la République de l'égalité des chances, c'est aussi construire une société inclusive.

Élisabeth Borne, Première ministre :

Bâtir la République de l'égalité des chances, c'est réussir la cohésion des territoires. Avec les territoires et leurs élus, nous voulons une relation fondée sur le respect, le dialogue et l'action. C'est une préoccupation partagée. Nous en avons beaucoup parlé ensemble, monsieur le président Marcangeli, monsieur le président Chassaigne.

Élisabeth Borne, Première ministre :

Chacun connaît son engagement pour l'avenir de la Nouvelle-Calédonie. Bâtir la République de l'égalité des chances, c'est agir pour notre sécurité. Cette conviction, qui m'anime profondément, s'est forgée tout au long de mon parcours, en particulier sous l'uniforme de préfète. Car l'insécurité est une inégalité. Elle touche directement et violemment ceux qui ont déjà été fragilisés par la vie, qui vivent dans des quartiers ou des zones où certains cherchent à imposer leur loi face à celles de la R...

Élisabeth Borne, Première ministre :

pour que les victimes soient écoutées, protégées et accompagnées, pour que les plaintes soient déposées et que la justice soit dite. Cette exigence absolue nécessite une mobilisation absolue. Enfin, bâtir la République de l'égalité des chances, c'est défendre nos valeurs avec intransigeance. La liberté, l'égalité, la fraternité et la laïcité ne sont pas négociables.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

... Première ministre, à travers votre nomination, c'est une certaine idée de la République qui s'affirme, dans laquelle les parlementaires peuvent, je le crois, se reconnaître largement par-delà leurs convictions et leurs engagements. Une République du travail, celui qui a permis votre parcours. Une République de l'engagement, celui qui n'a jamais cessé de vous animer dans toutes vos fonctions. Une République de l'égalité, celle qui s'adresse à toutes les petites filles de notre pays. C'est donc avec beaucoup émotion que je prends la parole après vous, sous l'œil bienveillant de la première femme élue à la présidence de l'Assemblée nationale.