Interventions sur "responsabilité"

30 interventions trouvées.

Élisabeth Borne, Première ministre :

...st notre mission collective, au Gouvernement comme sur ces bancs. Avec vous, avec tout le Gouvernement, avec nos concitoyens, nous réussirons ; j'y suis déterminée. Ces dernières semaines, à quatre reprises, les Françaises et les Français se sont exprimés. Par le résultat des urnes, ils nous demandent d'agir, et d'agir autrement. Par leur message, ils nous demandent de prendre collectivement nos responsabilités. Nous le ferons. Ensemble, nous répondrons à l'écho de l'abstention. Elle est le signe d'une démocratie malade, d'un désarroi de la jeunesse, d'une perte de confiance dans notre capacité à changer les vies. Ensemble, nous répondrons à la demande d'action. C'est elle qu'exprime le plus fortement le vote des Français. Nous ne pouvons pas décevoir. Ensemble, nous répondrons à l'exigence de respo...

Élisabeth Borne, Première ministre :

Ils n'accepteront ni immobilisme, ni obstruction, ni invective. Ils veulent un Gouvernement et un Parlement d'action. Nous avons une responsabilité historique vis-à-vis de nos concitoyens : responsabilité dans la manière d'agir, dans les réponses à offrir, dans les résultats à apporter. À partir du cadre choisi par les Français, je vous propose de bâtir ensemble. Notre premier défi, et je sais que cela fait consensus parmi nous, c'est de répondre de façon urgente à la question du pouvoir d'achat. Sous l'impulsion du Président de la Républiq...

Élisabeth Borne, Première ministre :

en ouvrant la caution publique aux classes moyennes ; en construisant davantage de logements dans les zones en tension ; en concluant un pacte de confiance avec les acteurs du logement social ; en proposant aux collectivités un nouvel acte de décentralisation pour concentrer les moyens et les responsabilités à l'échelle des bassins de vie tout en veillant à ce qu'elles permettent réellement aux projets de sortir de terre.

Élisabeth Borne, Première ministre :

Mais je veux l'affirmer, les deux clés du pouvoir d'achat durable sont le plein emploi et la transition écologique – j'y reviendrai. Sur tous ces sujets, je suis convaincue que nous pouvons trouver des solutions communes. Nous devrons cependant garder en tête trois principes, tout d'abord celui de la responsabilité environnementale : nous devons prendre en compte l'impact environnemental de toutes nos mesures

Élisabeth Borne, Première ministre :

et remplacer, dès que possible, nos dépenses en faveur des énergies fossiles par des solutions décarbonées. Le principe de la responsabilité budgétaire, ensuite. Les mesures massives que nous avons prises ont protégé les Français – il fallait les prendre –, mais nous devons retrouver aujourd'hui des perspectives claires pour l'amélioration de nos comptes publics. C'est une nécessité pour continuer à financer notre modèle social.

Élisabeth Borne, Première ministre :

J'ajoute que le pouvoir d'achat est un combat collectif. Chacun doit y prendre sa part, notamment les entreprises qui dégagent des marges. Au moment où l'inflation est forte, j'attends des employeurs qui le peuvent qu'ils prennent leurs responsabilités. Nous pouvons, nous devons, aller plus loin en la matière. Notre deuxième défi est de bâtir ensemble la société du plein emploi. C'est une conviction qui m'anime profondément, une conviction nourrie par mon parcours, par deux ans passés comme ministre du travail, de l'emploi et de l'insertion, par nos échanges et par ceux que j'ai avec nos concitoyens. Nous devons changer notre rapport au trava...

Élisabeth Borne, Première ministre :

et une ambition plus forte en matière de responsabilité sociale et environnementale des entreprises. Nous avons tous à y gagner.

Élisabeth Borne, Première ministre :

la France, notre France, c'est celle de cette jeunesse qui nous met devant nos responsabilités, s'engage pour le climat, prête à se battre pour notre destin commun ;

Élisabeth Borne, Première ministre :

... Gouvernement et des différentes voies que nous pourrions emprunter. Je m'engage à ne jamais rompre le fil du dialogue avec les groupes parlementaires, avec les forces vives, avec les Françaises et les Français. Je m'engage à bâtir des compromis ambitieux sans compromission sur les valeurs, à bâtir des solutions concrètes, des majorités de projets et d'idées. Les Français ont sonné l'heure de la responsabilité. Soyons au rendez-vous. Nous avons toutes et tous à y prendre notre part. Nous avons tout pour réussir. Bâtir ensemble, nous y parviendrons !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

Soyez assurés que nous saurons user de nos nouvelles responsabilités avec bienveillance, mais surtout avec pugnacité. Ce qui nous intéresse, ce n'est pas d'être les premières, mais de nous inscrire dans le temps long. Madame la Première ministre, vous venez de nous exposer la feuille de route que vous fixez au Gouvernement. Il me revient, en tant que présidente du principal groupe de l'Assemblée, de préciser nos intentions et l'état d'esprit qui nous anime alors...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

…à abdiquer notre objectif de plein-emploi, à appauvrir les Français et, in fine, à obérer la capacité de l'État à faire face à ses responsabilités. Pas d'augmentation de la dette, pas d'augmentation des impôts : voilà le seul cadre responsable dans lequel nous pouvons mener notre action.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

Il nous appartient désormais, par notre sens des responsabilités, par la pratique de notre mandat, de lui donner raison. Car cela correspond à nos convictions et, surtout, au verdict des urnes. Les membres du groupe Renaissance sont prêts à démontrer que nous sommes collectivement capables de trouver dans notre texte fondamental les ressources pour que la France continue d'avancer. Nous sommes clairs concernant le cadre général, qui sera cohérent avec le pro...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarine Le Pen :

Nous mesurons la responsabilité que nous ont confiée les électeurs en nous plaçant comme premier groupe d'opposition.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarine Le Pen :

S'il choisit l'intransigeance, le raidissement ou l'irrespect envers nos électeurs, il en assumera, devant le pays, la responsabilité. Pour notre part, nous sommes prêts à toute éventualité. Nous n'aurons pas à voter sur la confiance, puisque le Gouvernement se dérobe, et nous influerons donc sur les textes qui nous seront présentés, au premier rang desquels celui que les Français attendent avec espoir et impatience, à savoir celui sur le pouvoir d'achat. Notre première décision a d'ailleurs légitimement été de demander une com...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

...et que vous ne tolérez que lorsqu'elle vous est favorable. En 1966, votre prédécesseur Georges Pompidou, qui s'était soustrait comme vous au vote de confiance, s'exprimait ainsi : « La lettre et l'esprit de la Constitution de 1958 veulent en effet que le Gouvernement soit entièrement libre de demander ou non un vote de confiance et qu'il appartienne de préférence à l'Assemblée de mettre en jeu la responsabilité ministérielle par la procédure la plus normale et la mieux adaptée, je veux dire la motion de censure. »

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

Le Président de la République a proposé des alliances texte par texte ou un gouvernement d'union nationale. Mais il ne s'agit surtout pas pour lui d'infléchir son programme de maltraitance sociale et d'irresponsabilité écologique, puisqu'il a reçu, dit-il, une légitimité claire sur le fondement d'un projet clair. Là encore, vous refaites l'histoire : Emmanuel Macron n'a pas été élu par adhésion à son projet, il a été élu face à l'extrême droite.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaOlivier Marleix :

…dénoncée en son temps par le général de Gaulle, mais n'aura pas permis de relever le défi essentiel : enrayer le déclin de la France. Cette « petite soupe », nous n'en voulons pas. Notre responsabilité est claire : ni compromission ni petits arrangements

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Paul Mattei :

Chacun a ici la lourde responsabilité de façonner le destin de la France et des Français. Pour les cinq prochaines années, le Parlement sera plus que jamais au cœur de la vie politique et institutionnelle. C'est un motif de satisfaction pour notre famille politique.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Paul Mattei :

...se réelle de nos finances est une obligation, pas une option. Nous devrons réfléchir aux solutions pérennes qui permettront de retrouver un point d'équilibre viable pour l'économie et pour la société. Le monde change. La France change. La société change. Notre pays est divisé : notre devoir est de tout faire pour réunir nos concitoyens. Cela nous oblige à faire preuve de plus de solidarité et de responsabilité. La crise sanitaire nous a montré la fragilité de notre société et des États. Chacun d'entre nous l'a ressenti à son propre niveau, du retraité à l'étudiant, du chef d'entreprise au salarié. Nous devrons donc renforcer notre capacité à répondre à une nouvelle crise, tout en restaurant nos moyens de résilience collectifs. À l'heure où l'inflation, que les économistes croyaient disparue à jamais, ...