Interventions sur "sociale"

34 interventions trouvées.

Élisabeth Borne, Première ministre :

Rappelons-nous que c'est le gouvernement Rocard – qui n'avait pourtant qu'une majorité relative sur ces bancs – qui a créé le revenu minimum d'insertion (RMI), la contribution sociale généralisée (CSG) et a lancé le processus de paix en Nouvelle-Calédonie. Nous avons encore des droits à conquérir, des progrès à réaliser, des protections à bâtir. Si d'autres y sont parvenus, nous y parviendrons.

Élisabeth Borne, Première ministre :

Nous vous proposerons de prolonger le bouclier tarifaire sur les prix du gaz et de l'électricité, d'augmenter les revenus du travail, de mieux partager la valeur en baissant les charges des indépendants et en triplant le plafond de la prime de pouvoir d'achat. Nous vous proposerons également de revaloriser les retraites et les prestations sociales, notamment les allocations familiales, la prime d'activité, les aides personnalisées au logement (APL), l'allocation aux adultes handicapés (AAH) et les bourses sur critères sociaux,…

Élisabeth Borne, Première ministre :

...'achat, c'est aussi garantir à tous l'accès à une alimentation saine et de qualité. Nous définirons donc avec les professionnels, avec les associations et avec vous les contours du chèque alimentation. Le pouvoir d'achat, c'est enfin venir en aide aux plus vulnérables. Nous voulons que chacun perçoive les aides auxquelles il a droit avec la solidarité à la source. Nous mettrons fin à l'injustice sociale du non-recours et nous lutterons plus efficacement contre la fraude.

Élisabeth Borne, Première ministre :

Verser une allocation ne suffit pas. Nous voulons que chacun s'en sorte et retrouve sa dignité par le travail. Ce que nous proposons, c'est donc ni plus ni moins qu'une mesure de justice sociale et d'équilibre entre les droits et les devoirs.

Élisabeth Borne, Première ministre :

et une ambition plus forte en matière de responsabilité sociale et environnementale des entreprises. Nous avons tous à y gagner.

Élisabeth Borne, Première ministre :

Alors, au cœur de l'engagement du Président de la République et de mon gouvernement, se trouve une volonté de briser les inégalités de destin, de n'accepter aucune assignation sociale ou culturelle, de permettre à chacun de choisir son avenir, de tracer les chemins de l'émancipation.

Élisabeth Borne, Première ministre :

...ers. Le premier, c'est la prévention. À tort, on résume trop souvent la santé aux soins. La prévention consiste à faire des campagnes de santé publique, des dépistages et des bilans de santé aux moments clés de la vie. Bien au-delà, elle s'inscrit dans toutes les politiques publiques. Prévenir les maladies implique d'agir sur la qualité de l'air, l'habitat, les conditions de vie et les inégalités sociales, c'est-à-dire les principaux déterminants de la santé de chacun.

Élisabeth Borne, Première ministre :

...hors les murs pour une prise en charge toujours plus adaptée à chaque situation. Les investissements du Ségur de la santé ont été une étape majeure pour cette transformation, mais nous devons aussi relever le défi de l'attractivité pour permettre le recrutement de 50 000 infirmiers et aides-soignants d'ici à 2027. Lors du précédent quinquennat nous avons créé la cinquième branche de la sécurité sociale, nous avons posé les fondements du financement de cette nouvelle solidarité nationale pour le grand âge. Là encore, avec les départements, je vous propose de travailler ensemble à bâtir un service public efficace qui réponde aux besoins des personnes âgées et des familles, au plus près des territoires. Bâtir la République de l'égalité des chances, c'est aussi construire une société inclusive.

Élisabeth Borne, Première ministre :

Nous agirons pour l'accessibilité universelle pour l'autonomie – notamment financière – des personnes handicapées, pour la transformation des structures médico-sociales et pour une meilleure reconnaissance des personnels de l'accompagnement. Nous devons améliorer l'inclusion par le travail dans le milieu ordinaire d'abord, et aussi dans les établissements ou services d'aide par le travail (ESAT) ou en entreprises adaptées. Je vous annonce que mon gouvernement réformera l'allocation aux adultes handicapés (AAH) avec vous et les associations.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

...1958. La Constitution en offre la faculté au Parlement, saisissons-la ! Nous serons loyaux et fidèles au Président de la République et au projet qui nous a conduits ou reconduits ici. Certains nous diront soumis, mais cela ne nous empêchera pas de réaffirmer notre loyauté et notre fidélité, loin des caricatures. Nous sommes libres de mener nos combats politiques en faveur de nouvelles conquêtes sociales pour les Français. On nous dira affranchis, mais cela ne nous empêchera pas d'engager des actions, ni de faire des propositions, fidèles en cela au mandat que les Français nous ont confié. Nous l'avons déjà fait, sans jamais sombrer dans la démagogie, mais en croyant résolument au rassemblement et au dépassement politique. Les membres du groupe que j'ai désormais l'honneur de présider emprunter...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarine Le Pen :

renouer avec une représentation politique ou sociale vraiment démocratique, qui fasse que chaque citoyen se sente représenté ; revoir l'action diplomatique…

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

Le Président de la République a proposé des alliances texte par texte ou un gouvernement d'union nationale. Mais il ne s'agit surtout pas pour lui d'infléchir son programme de maltraitance sociale et d'irresponsabilité écologique, puisqu'il a reçu, dit-il, une légitimité claire sur le fondement d'un projet clair. Là encore, vous refaites l'histoire : Emmanuel Macron n'a pas été élu par adhésion à son projet, il a été élu face à l'extrême droite.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

...ction législative n'a jamais eu lieu. Comme toujours en Macronie, l'essentiel est de simuler la démocratie pour mieux la bafouer. Le Président a feint d'engager les discussions : désormais, la balle serait dans le camp des oppositions, il nous incomberait à nous de nous situer par rapport au parti majoritaire, qui n'est à présent plus majoritaire. En d'autres termes, soit nous avalisons la guerre sociale, la retraite à 65 ans et le conditionnement du RSA au travail gratuit, soit nous sommes une minorité de blocage ; soit nous sommes de votre côté, c'est-à-dire contre le peuple, soit nous sommes pour l'intérêt général, donc pour vous hors du champ républicain.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

Pourquoi nous ferions-vous confiance, à vous qui découvrez les profiteurs de guerre, mais ne faites rien quand Total engrange 16 milliards de bénéfices, à vous qui présentez des mesures sociales inférieures au niveau de l'inflation, à vous qui êtes à nouveau épinglés par le Haut Conseil pour le climat (HCC) pour votre inaction climatique ,

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

Nous ne croyons pas une seule seconde à une Macronie qui retrouve la raison. Vous avez présenté votre feuille de route, celle du dépôt de bilan de M. Emmanuel Macron ; voici la nôtre. Cette semaine, nous avons présenté notre deuxième proposition de loi commune à la Nouvelle Union populaire écologique et sociale :

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaOlivier Marleix :

Nous devons aussi – et peut-être surtout – répondre à l'exigence de justice sociale la plus élémentaire : pouvoir vivre dignement de son travail. À coups de chèques à crédit et de dépenses sociales incontrôlées, vous avez fait croire que l'assistanat était la solution alors qu'il n'est qu'illusion.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaOlivier Marleix :

Plutôt que de réduire les pensions de retraite, fruits d'une vie de travail, en les valorisant ou en augmentant la CSG – contribution sociale généralisée –, ayez enfin le courage de mener une réforme juste de notre système de retraite. Oui, nous devons tout faire pour revaloriser le travail et il n'y a pas de droit sans devoir. Si vous êtes prêts à exiger des bénéficiaires du RSA quinze heures d'activité ,…

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaOlivier Marleix :

Enfin, il faudra avoir le courage de protéger l'argent des Français contre la fraude sociale tout autant que contre les champions de l'optimisation fiscale qui abusent sous vos yeux et ceux de Bercy des prix de transfert pour ne pas payer d'impôts en France. Nous serons à vos côtés si vous avez le courage de réduire la dépense publique inefficace pour diminuer l'imposition confiscatoire du travail, y compris l'imposition des moyens d'aller au travail, c'est-à-dire des carburants. La taxa...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBoris Vallaud :

...nt dans un désert médical, 6 millions demeurent sans emploi stable et 300 000 d'entre eux sont sans domicile fixe ; 20 % de nos compatriotes vivent à découvert. Les températures augmentent en même temps que la biodiversité s'effondre. Nous avons touché les limites du monde tel qu'il a prévalu jusqu'à aujourd'hui, menacé par l'injustice et la démesure, et en définitive par la précarité économique, sociale et écologique où nous a entraînés l'ère néolibérale.