Interventions sur "voulez"

124 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaVéronique Louwagie :

Voulez-vous plus d'emplois mieux rémunérés ? Vous ne répondez pas : vous êtes gênés… De fait, vous n'ignorez pas que les solutions que vous préconisez sont de nature à mettre en péril les entreprises : or ce sont elles, notamment les très petites entreprises (TPE) et les petites et moyennes entreprises (PME), qui créent les emplois,…

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaHendrik Davi :

Ce que vous voulez, c'est mettre la main sur le magot de 600 milliards – le budget de la sécurité sociale –, dont les capitalistes n'ont jamais digéré l'existence ! Ils voudraient qu'il passe par la bourse et faire du profit dessus !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAntoine Léaument :

Pendant des jours, vous nous avez asséné les mêmes attaques. Vous nous dites que vous, les macronistes, seriez les amis du système par répartition. Bonjour les amis ! Vous voulez faire travailler les Françaises et les Français deux ans de plus, se casser le dos deux ans de plus, se casser les reins deux ans de plus, se casser le corps deux ans de plus ,

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFrançois Ruffin :

En cette dernière journée de débats, nous pouvons récapituler tout ce à quoi vous ne voulez pas toucher : les dividendes, les retraites chapeaux, les fonds de pension.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaWilliam Martinet :

Pour vous, néolibéraux, il est insupportable que plus de 300 milliards d'euros, chaque année, aillent directement de la poche des travailleurs à celle des retraités, sans passer par le marché. Vous voulez mettre le marché partout ! Vous voulez que les fonds de pension fassent des profits ! Ce projet caché – casser le système par répartition pour favoriser le système par capitalisation –, vous l'avez aussi pour l'école et l'hôpital. Si vous cassez l'école publique, c'est pour favoriser l'école privée ; si vous cassez l'hôpital public, c'est pour favoriser les cliniques privées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMatthias Tavel :

Nous parlons du régime par répartition, mais il y a manifestement une chose que vous ne voulez pas évoquer, c'est la répartition des richesses dans notre pays ! Votre réforme, qui impose à tous les Français de travailler deux ans de plus, est l'impôt le plus injuste et le plus brutal que vous pouviez prélever sur les classes populaires et les classes moyennes, sur cette France qui travaille, la France des bacs professionnels et des BTS – tous ces gens qui se demandent s'ils arriveront jusq...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaCatherine Couturier :

C'est mon premier mandat : je n'ai donc pas beaucoup d'expérience parlementaire. Toutefois, si j'ai bien compris, vous voulez tous – la Macronie, Horizons et apparentés, LR, l'extrême droite – aller à l'article 7. Il nous reste onze heures de débat : vous pourriez commencer par retirer vos propres amendements. Vous auriez pu aussi demander à Mme Borne – mais peut-être est-elle déjà en vacances ? – de recourir au 49.3 sur les recettes ! Nous serions ainsi en train d'examiner l'article 7 ! L'obstruction, elle ne vient pas...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDanièle Obono :

...oulons défendre le système par répartition et nous prenons le temps, avec ces amendements, de vous montrer qu'il existe d'autres solutions que de le casser. De toute évidence, ce temps, vous n'avez pas envie que nous le prenions pour éclairer les Français et les Françaises. Comme l'a annoncé la présidente de l'Assemblée, c'est vous qui souhaitez que les débats s'arrêtent ce soir à minuit car vous voulez éviter d'être placés devant vos contradictions. Vous êtes pris la main dans le sac : votre volonté de casser le système par répartition apparaît jour après jour plus clairement aux yeux de millions de Françaises et de Français.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaStéphanie Rist, rapporteure générale de la commission des affaires sociales :

Cela ne fait pas avancer le débat. En revanche, si vous retiriez les 1 372 amendements que vous avez déposés sur les articles avant l'article 7, nous pourrions parler de pénibilité, enjeu qui intéresse les Français, me semble-t-il, de retraite progressive, de la prise en compte des travaux d'utilité collective (TUC), des proches aidants, mais vous ne le voulez pas. Je ne comprends pas pourquoi.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaThomas Rudigoz :

…compte tenu du retrait de paquets d'amendements décidé par plusieurs groupes : les écologistes, les communistes et les socialistes. Mais, tout d'un coup, le patron a sifflé la fin de la récré et a rappelé à M. Bompard qu'il fallait poursuivre l'obstruction. Hier soir, lors de son meeting, il a même attaqué le parti communiste, en stigmatisant le président du groupe. Vous voulez provoquer, créer le désordre. Hier, M. Bernalicis a encore fait un coup d'éclat en déclarant que la présidente était un « agent provocateur ». Mesdames et messieurs les députés insoumis, sachez que les Français ne s'y trompent pas : c'est vous qui êtes les agents provocateurs !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSarah Legrain :

Cela fait des jours, messieurs les membres du Gouvernement, que nous vous posons des questions et que vous faites des mots croisés ou que vous soutenez ne pas avoir de comptes à rendre. L'imprécision est de votre côté ! Nous avons bien compris aussi qu'avec la complicité de Mme la présidente, vous voulez enfermer les débats dans un placard…

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSarah Legrain :

…et que vous voulez en refermer la porte ce soir ! Que ce soit très clair : si vous choisissez de la fermer ce soir en achevant la séance, le débat sur la réforme des retraites se poursuivra. Il a commencé ces dernières semaines dans la rue, il continuera dans la rue !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSophie Taillé-Polian :

Mais qu'auriez-vous fait si nous y étions parvenus ? À l'article 8, vous nous auriez expliqué que vous ne savez pas trop ce qu'il en est des carrières longues – quarante-trois ou quarante-quatre annuités. Et à l'article 9 ? Que vous ne voulez pas rétablir les critères de pénibilité qui, pourtant, sont essentiels pour amoindrir la dureté au travail. À l'article 10, vous auriez expliqué qu'entre 2 000, 4 000, 10 000 ou 40 000 personnes bénéficieront des 1 200 euros – en réalité, nous ne connaissons ni le chiffre exact ni combien cela coûtera. Voilà la réalité ! Nous, membres du groupe Écolo – NUPES, nous sommes prêts à en débattre. Ouvr...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPhilippe Lottiaux :

Nous entendons à chaque fois exactement les mêmes débats. Nous ne sommes pas dans une assemblée générale de LFI : ce n'est pas la peine de nous répéter vingt fois la même chose ; nous avons compris. Vous demandez une semaine supplémentaire. Mais pour quoi faire ? À ce rythme, vous voulez arriver à l'article 3 ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPhilippe Lottiaux :

...fits et des superdividendes – nous avions d'ailleurs voté le sage amendement de M. Mattei à ce sujet. Je le répète, nous sommes pour. Malheureusement, vos arguments sont totalement indifférenciés : vous tapez sur tout le monde, sur les classes moyennes et sur les petits retraités. Ce n'est pas possible ! D'un côté, il y a ceux parlent encore et encore ; de l'autre, il y a ceux qui agissent. Vous voulez bloquer le pays, mais cela retombera encore sur les travailleurs, qui perdront des journées de salaire.