Interventions sur "ailleurs"

3 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaArnaud Le Gall, rapporteur de la commission des affaires étrangères :

...de l'accord de sécurité sociale entre la France et la BRI renvoient à des enjeux et donc à des choix politiques, qu'il est de notre devoir de porter à la connaissance du peuple souverain. Nous ne ferons cependant pas obstacle à leur ratification et nous nous abstiendrons : d'une part, parce que, je l'ai dit, leur portée est limitée ; d'autre part, parce que nous opposer aux droits sociaux des travailleurs de la nouvelle antenne parisienne de la BRI n'aurait pas de sens.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJulie Delpech :

L'implantation d'un tel centre en France peut être vue comme une nouvelle preuve de l'efficacité de la politique conduite par les gouvernements en place depuis 2017 et soutenue par la majorité présidentielle, qui vise à attirer les acteurs et les investissements extérieurs. Ainsi, les derniers résultats du baromètre du cabinet Ernst le phénomène des cryptomonnaies en est d'ailleurs une illustration marquante. La nouvelle antenne du BISIH à Paris nous permettra-t-elle d'anticiper ces changements et de nous placer à la pointe de ces évolutions ? Enfin, son hébergement dans les locaux de la Banque de France favorisera le resserrement des échanges entre notre institution nationale et la BRI ; elles pourront ainsi explorer conjointement les potentialités des nouvelles technolog...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaArnaud Le Gall, rapporteur de la commission des affaires étrangères :

...remier objectif de préserver les taux de profit et la valeur des actifs financiers de toute sorte, à commencer par les titres de dette – ce qui révèle une contradiction dans votre politique – car l'inflation, ne l'oublions pas, fait baisser le coût des dettes, ce qui ne plaît pas aux créanciers. Refuser d'augmenter les salaires, ce n'est donc pas lutter contre l'inflation mais faire payer aux travailleurs le coût d'une inflation qui durera. Le « quoi qu'il en coûte » consistait en une injection d'argent par la puissance publique sans conditions d'investissement, afin de remettre en route le système productif, de l'adapter à la nécessaire transition écologique, de rénover les infrastructures et tout simplement de créer des emplois pérennes. Cette option a vécu. Au niveau international et national,...