Les amendements de Emmanuel Blairy pour ce dossier

7 interventions trouvées.

Nos mémoires de consommateurs abreuvés par la télévision n'ont pas oublié les slogans des marques de produits laitiers. Quel rapport, me direz-vous, avec le textile ? Cet appel à nos souvenirs ne visait qu'à introduire l'article que nous examinons. Née en 1925, la publicité permet aux marques de se faire connaître. C'est une bonne chose, tant q...

Cet amendement d'appel vise à appeler l'attention sur un point qui n'a été traité ni en commission ni lors des auditions. En effet, la pratique des boutiques éphémères, qui a trait autant à la publicité qu'à l'écoulement de la marchandise, génère un impact considérable sur l'environnement : envoi de communications électroniques – courriels, pou...

À l'heure où le Gouvernement affiche sa volonté de réindustrialiser le pays, il paraît indispensable de dresser un état des savoir-faire français, en distinguant ceux qui sont en difficulté, ceux qui ont définitivement disparu, et ceux qui ont été conservés et qu'il conviendrait de soutenir – je pense aux secteurs de la dentelle, du lin, du tan...

…vous souhaitez aujourd'hui rééquilibrer les choses, mais il est un peu tard ! Certes, en Macronie, en tout cas chez les alliés, il est toujours trop tard.

Qu'il s'agisse d'industrie, d'agriculture, de pouvoir d'achat, vous ne réagissez qu'au bout de sept ans, ce qui explique du reste que cela ne produise aucun effet. Malgré tout, votre texte, madame la rapporteure, a mis en lumière un point important : dans le domaine dont nous traitons, l'Union européenne ne sert pas les intérêts des nations. A...

Je me souviens encore des personnes, des femmes notamment, qui allaient travailler à Roubaix et qui détenaient un savoir-faire de niche, que nous risquons de perdre. Le rapport sur l'état actuel de l'industrie textile que je demandais tout à l'heure visait précisément cet objectif : préserver notre savoir-faire. Comme d'habitude, vous n'avez p...

Oui, je sais que cela dérange les collègues d'en face ! « L'Europe ne peut être tranquille tant que la France n'est pas contente ».