Il n'apparaît donc pas nécessaire, ni proportionné, de rigidifier les règles applicables en imposant un tel principe général de gratuité au niveau de la loi, comme cela a été proposé par d'autres amendements, ni même au niveau d'un décret en Conseil d'État, qui n'offre pas les mêmes garanties de réactivité que la réglementation en vigueur.
La question de la gratuité des tests pourra en outre être abordée dans le cadre du rapport d'évaluation prévu à l'article 4, adopté en commission à votre initiative. En conséquence, je vous invite à retirer cet amendement, faute de quoi j'émettrai un avis défavorable.