mais nous ne nous sommes pas laissés faire. Malgré un examen du texte erratique, parfois accéléré, parfois ralenti, et malgré des arguments à la carte, cela n'a pas marché ! Nous ne sommes pas d'accord : nous légiférons envers et contre tout et, je dirais même, quoi qu'il en coûte. C'est la raison pour laquelle l'article 2 n'a pas été adopté. Nous avons imposé le respect de la démocratie et du rôle de chacun au sein de la République parfois mise à mal.
Vous nous trouverez toujours sur votre chemin quand il s'agira de la protection des mineurs.