Les amendements de Jean-Philippe Tanguy pour ce dossier

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Cet amendement reprend celui déposé l'année dernière par nos collègues du groupe LIOT. Il vise à abonder de 4 millions d'euros la politique d'octroi de chèques alimentaires à Mayotte. On a évoqué tout à l'heure le problème de l'eau, mais nos compatriotes de Mayotte subissent à la fois, entre autres problèmes, un niveau de vie inférieur à celui ...

C'est un amendement d'appel qui s'inscrit dans la discussion que nous venons d'avoir, puisqu'il propose des crédits à titre indicatif. Vous l'avez dit, monsieur le ministre délégué, c'est à l'État de décider quels moyens sont nécessaires pour garantir un accès à l'eau potable sur l'ensemble des territoires de la République et pour l'ensemble de...

J'ai bien précisé que mon amendement était un amendement d'appel. La réalisation des travaux en Guadeloupe nécessiterait au moins 2 milliards d'euros.

Les montants que vous annoncez sont donc insuffisants. Par ailleurs, vous invoquez des prétextes pseudo-techniques pour justifier que, dans un territoire français, certains de nos concitoyens ne bénéficient pas d'un accès garanti à l'eau potable. Mon amendement vise à ce que le Gouvernement s'engage à assurer l'accès inconditionné et certains d...

Vous expliquez sans cesse qu'il faut soutenir les amendements de la NUPES en faveur de l'outre-mer. Nous le faisons, car nous ne sommes pas sectaires, mais ne nous refaites pas le même cinéma qu'en commission des finances, où vous avez trouvé toutes les excuses possibles et imaginables pour ne jamais soutenir nos propositions, alors que, je le ...

Autant nous avons soutenu les amendements précédents qui tendaient à encadrer la planification du plan de relance en contraignant les entreprises, autant celui-ci ne nous paraît pas pertinent, non pas pour les raisons évoquées par M. le ministre délégué – il existe bel et bien des superprofits et il faut les récupérer –, mais parce qu'en mêlant...

Cet amendement d'appel vise à appeler l'attention de la représentation nationale et du Gouvernement sur la somme de 1,2 milliard d'euros de crédits attribués au projet de site unique de la DGSI. Anticipant les critiques de mauvaise foi, je précise qu'il ne s'agit évidemment pas de remettre en cause la construction de ce site ou de refuser d'acc...

Voilà cinquante longues années, un demi-siècle, que les gouvernements qui se sont succédé présentent systématiquement, sans aucune exception, un budget en déficit. Je vous l'ai dit en commission et je vous le redis ici : après cinquante ans, quand on se marie et qu'on s'aime, on fête les noces d'or !

Mais avec vous, pas d'amour, même platonique : ce sont bien des noces de plomb que nous célébrons ! En effet, cela fait cinquante ans que vous plombez notre pays par plus de déficit, plus de dette et toujours plus d'impôts. Pourtant, il y a de moins en moins de services publics efficaces. Après tant d'années, votre héritage, c'est l'exaspérati...

Vous, les macronistes, et avant vous les fausses alternances de gauche et de droite, vous n'avez jamais été capables d'équilibrer les comptes publics malgré un niveau de fiscalité et de prélèvements obligatoires en perpétuel alourdissement. Quel triste anniversaire pour la France que ce cadeau empoisonné que vous lui offrez une fois de plus en...

En effet, la France d'Emmanuel Macron n'est pas seulement en déficit de ses comptes publics mais a connu l'année un déficit commercial record et, dernier avatar de votre incompétence, un déficit de la balance des paiements ! Bref, année après année, vous appauvrissez les Français. Ne cherchons pas ailleurs que dans votre incurie la baisse histo...

La hausse des impôts est deux fois supérieure à l'inflation, et quatre fois supérieure à la croissance attendue. Autrement dit, le racket des classes moyennes et des PME continue. « C'est quand la mer se retire que l'on voit ceux qui se baignent nus » : c'est un mot d'esprit de Warren Buffet, un Mozart de la finance, un vrai, pas sa pâle imita...

Or, comme l'écrivait La Rochefoucauld, la flatterie est une fausse monnaie qui n'a de cours que par votre vanité. Cette autoflatterie ne vous sera d'aucun secours pour rétablir les comptes de la Nation, ni pour rendre leur argent aux Français. Les dialogues de Bercy, réunions aussi interminables qu'inutiles, ne vous seront également d'aucun sec...

…les voix d'oppositions qui seraient d'accord avec vos propositions. Les voix de Jeanne sauvaient la France, celles de Thomas la conduiront à la ruine. Je vous le répète : il n'y a aucun rapport entre ce que les oppositions ont demandé durant les dialogues de Bercy et les propositions macronistes que vous voulez imposer sous couvert d'un conse...

Les eaux de l'argent gratuit et abondant, arrosant de liquidités vos chèques sans provision aux Français et vos dépenses incontrôlées, se sont donc retirées. Qu'avez-vous fait de tout ce temps où l'argent coulait à flots ? Avez-vous investi dans notre industrie,…

Avez-vous enfin financé le bond de notre recherche et de notre développement ? Avez-vous développé les formations techniques et académiques nécessaires à l'économie réelle, lancé des programmes d'ampleur pour notre production d'électricité, l'isolement de nos logements ou encore une transition écologique juste vers des véhicules plus propres et...

Non ! Rien, absolument rien, vous avez strictement appliqué la fameuse politique de la planche à billets, finançant à perte vos dépenses de fonctionnement, votre politique de submersion migratoire irresponsable,…

Surtout, vous avez financé avec l'argent des impôts et de la dette les privilèges des oligarques, les marges juteuses des multinationales, les prébendes de la technocratie européenne et des bureaucrates parasites en tout genre qui vivent sur le dos des Français depuis bien trop longtemps !

Tel le roi dans la fable éponyme, vous apparaissez donc avec votre cohorte d'experts en désinformation et de consultants en faillite, tels que vous êtes : nus, totalement nus, sans ressources, désarmés et perdus.

Je suis sûr que vous connaissez d'autres fables, monsieur le ministre délégué. La première d'entre elles, vous l'avez apprise, je l'espère – si cela se faisait encore – sur les bancs de l'école de la République. Vous êtes la cigale, vous avez paradé tout l'été et vous voilà bien dépourvu puisque la bise est venue.