Les amendements de Jean-René Cazeneuve pour ce dossier

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Sur tous ces bancs, il existe un certain consensus pour reconnaître que cet impôt a vieilli, qu'il est injuste, que son assiette se réduit, que son mode de collecte est dépassé et que sa suppression représente un gain de pouvoir d'achat pour les Français. Tout a été dit à ce propos, et je crois que nous sommes tous d'accord sur le sujet. Mais ...

…à ce que des membres de la représentation nationale décident ici quel sera le montant alloué, j'en suis très surpris.

Il est défavorable. Premièrement, nous ne souhaitons pas créer de nouvel impôt. Deuxièmement, à partir de 2025, la loi organique relative aux lois de finance (LOLF) interdira une imposition à un tiers s'il n'existe pas de lien direct entre l'imposition et les missions exercées par ce tiers.

Monsieur Vannier, il y a une troisième solution pour ramener le déficit à un niveau inférieur à 3 % du PIB, mais je comprends qu'elle ne fasse pas partie de votre logiciel. Ce que nous voulons, c'est viser le plein emploi, soutenir notre économie et ainsi augmenter nos recettes fiscales.

Je l'ai déjà dit plusieurs fois : pas de nouvel impôt ni d'augmentation des impôts existants. Sans compter que la LOLF, dont certaines dispositions seront appliquées à partir de 2025, constitue un obstacle. Avis défavorable.

Je suis très favorable aux amendements identiques. Si la version initiale de l'article 1er ne m'inquiétait pas, la solution proposée donne des garanties supplémentaires et de la visibilité tout en tenant compte des remarques de l'IGAC. Je suis défavorable au sous-amendement comme à l'amendement n° 1003. Ce qui a été dit est assez caricatural.

Pour notre part, nous ne souhaitons pas créer de nouvel impôt. De plus, votre proposition est contraire aux directives européennes – je sais que vous voulez sortir de l'Union européenne, mais nous ne le voulons pas.

Demande de retrait, parce que la disposition va de soi. Pour l'ensemble des missions que nous examinons et que nous évaluons dans le cadre du PLF, nous tenons compte des effets de l'inflation – notamment de l'augmentation de la masse salariale.