Les amendements de Philippe Juvin pour ce dossier

9 interventions trouvées.

Sans surprise, vous proposez encore d'augmenter les taxes sur les entreprises. Nous, nous croyons en la réduction des taxes, pas en leur en leur augmentation. Nous, nous croyons en la réduction de la dépense publique, pas en son augmentation.

Nous, nous croyons en la réduction de la bureaucratie pour les entreprises, pas en son augmentation. Les taxes élevées ne sont pas une marque de solidarité. Elles ne créent pas de richesse, elles la détruisent.

Les entreprises créent des emplois et des richesses. Si nous voulons une économie prospère et forte, nous devons adopter une politique fiscale qui encourage les entreprises à investir et à innover, pas une politique fiscale qui les considère comme des débiteurs dont on peut faire les poches à volonté.

J'avoue ne pas comprendre pourquoi l'article 1er , en ses alinéas 3 et 4, prévoit la suppression du régime spécial des employés de la Banque de France. C'est un régime à l'équilibre, voire excédentaire, qui s'autofinance et ne coûte rien au contribuable – ses excédents sont versés au budget de l'État ! Il s'agit par ailleurs d'un régime de sol...

…outil qui pourrait être justement envisagé pour compléter les retraites par répartition, dont la situation sera de plus en plus difficile compte tenu du vieillissement de la population. Une autre vertu de ce régime est que son fonds, d'une douzaine de milliards d'euros, est investi dans l'économie réelle, contribuant ainsi à la richesse du pa...

J'ai tout d'abord une pensée pour les Français qui nous regardent. Après le fiasco parlementaire de la commission des affaires sociales, où nous n'avons pas été capables de dépasser l'article 2 et n'avons pas pu aborder les questions fondamentales du recul de l'âge de la retraite ou de la durée de cotisation, je formule le vœu que cette assembl...

Le texte est loin d'être parfait, il est même décevant par bien des aspects, mais si nous ne le votons pas, voilà ce qui arrivera à cet agent de catégorie C né après 1980.

Quel regret ensuite de voir que l'article liminaire fait l'impasse totale sur des sujets fondamentaux. Avec une population qui vieillit, un système par répartition condamne par définition à repousser l'âge de départ tous les cinq, dix à quinze ans, dès lors que l'on n'introduit pas, en complément de la répartition, une dose de capitalisation. O...

Cet article offrait aussi une occasion de provisionner les retraites des fonctionnaires, pour les garantir. Aujourd'hui, celles-ci sont garanties par la dette, ce qui n'est évidemment pas suffisant. On a l'impression, monsieur le ministre, que cet article liminaire fait l'impasse sur tous ces sujets absolument fondamentaux. Que de déception ! D...