Les amendements de Philippe Lottiaux pour ce dossier

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Sur le principe, nous pouvons être favorables à la taxation du capital. Le groupe RN voulait ainsi taxer les superprofits et les retraites chapeaux mais nos propositions en ce sens ont été rejetées. Nous souhaitons remplacer l'impôt sur la fortune immobilière (IFI) par un impôt sur la fortune financière. Le problème réside d'abord dans le fait ...

…si bien que le n° 19151, par exemple, vise à prélever 1 % des dividendes selon le texte et 5 % selon l'exposé sommaire. Il faudrait savoir ! Ensuite, votre volonté est d'imposer sans distinction toutes les entreprises, tous les dividendes, y compris ceux des petits actionnaires, autrement dit de couper tout ce qui dépasse. Dès lors, on s'expli...

Nous entendons à chaque fois exactement les mêmes débats. Nous ne sommes pas dans une assemblée générale de LFI : ce n'est pas la peine de nous répéter vingt fois la même chose ; nous avons compris. Vous demandez une semaine supplémentaire. Mais pour quoi faire ? À ce rythme, vous voulez arriver à l'article 3 ?

C'est insupportable ! Nous venons encore une fois d'examiner une longue série d'amendements, et nous avons l'impression d'entendre répéter éternellement les mêmes arguments. Nous sommes favorables à la taxation du capital, des superprofits et des superdividendes – nous avions d'ailleurs voté le sage amendement de M. Mattei à ce sujet. Je le ré...

Cela retombera sur ceux qui ne pourront pas aller travailler. Si vous êtes opposés à la réforme des retraites, plutôt que de parler, votez la motion de censure du Rassemblement national ce soir : elle montrera qui s'oppose vraiment à la réforme, et qui se contente de parler.

Cet amendement me laisse pantois. Vous voulez, je cite : « taxer les comportements non vertueux ». Mais qui êtes-vous pour donner des leçons de vertu ?

Où s'arrête la vertu, où commence le vice ? Si je devais prendre des leçons de morale, ce n'est pas du côté de la NUPES que j'irais les chercher.

Ce genre d'amendement fumeux est un facteur d'insécurité pour les entreprises et un danger pour l'emploi ; là-dessus, je suis d'accord. Cela étant, je ne peux pas entendre le discours macroniste sur la confiance qui nous a été servi tout à l'heure. En janvier 2023, la confiance des ménages reste dégradée : l'indicateur synthétique de confiance...

C'est une question de cohérence. Pour paraphraser Desproges, la cohérence, c'est comme un parachute, quand on n'en a pas, on s'écrase.

Nous l'avons dit : avec cette réforme, c'est la double peine. D'une part, elle recule l'âge de la retraite, d'autre part, elle paupérise bon nombre de retraités qui ne pourront pas travailler jusqu'à 64 ans. Tout cela pour une réforme qui n'aura que de faibles gains, puisque ce qui peut être gagné d'un côté sera en grande partie perdu de l'autr...

Cet article liminaire porte bien son nom car en lui réside l'origine du mal. On y trouve l'état désastreux de nos finances publiques après six ans de macronisme, une dette abyssale augmentée de 800 milliards d'euros depuis 2017, des taux de prélèvements obligatoires et des dépenses publiques sans précédent, alors que nos services publics sont à...

Vous avez fait le choix de faire payer votre gestion calamiteuse aux Français : à tous ceux qui, usés, attendent impatiemment d'avoir leurs trimestres ou d'atteindre l'âge de départ légal pour ouvrir une nouvelle page de leur vie. Pourquoi un tel coût social dans le seul but d'obtenir des avantages budgétaires réels bien faibles, si l'on consid...