Les amendements de Sébastien Delogu pour ce dossier

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Avec cet amendement, nous demandons la suppression du plafond des autorisations d'emplois de l'État. Comment pouvez-vous fixer un tel plafond alors que nos services publics sont complètement abandonnés et que les conditions de travail des fonctionnaires se détériorent ? Franchement, je ne comprends pas.

…et il faut savoir accepter les différences. Quand le Président de la République s'est déplacé dans ma circonscription, je l'ai alerté à propos de la fermeture d'une classe de La Bricarde, dans les quartiers nord de Marseille. Ne vous inquiétez pas, m'a-t-on dit, elle ne fermera pas. Depuis, le ministre de l'éducation a été remplacé, la classe ...

Votre plafond empêche d'embaucher davantage de fonctionnaires dans les services publics alors que les agents connaissent des difficultés et auraient besoin d'être soulagés. En parallèle, la population continue elle aussi de souffrir. Voilà pourquoi nous vous demandons de supprimer ce plafond d'emplois.

Je vais vous expliquer quelque chose : pendant que vous pérorez sur les plateaux de télévision, je vous rapporte la réalité du terrain.

C'est vrai : les bus relèvent des collectivités territoriales. Pardonnez-moi, messieurs les savants ! On a le droit de se tromper. En attendant, Saint-Louis sera privé de CPAM et l'école de La Bricarde a fermé…

…et des enfants vont s'entasser dans des classes. Donc votre plafond d'emplois ou votre loi organique, on n'en veut pas. Nous ne sommes pas là pour tout casser…

…mais pour partager les problèmes que nous rencontrons dans nos circonscriptions. Je vous écoute avec intérêt quand vous vous exprimez…

…mais ne mélangez pas tout. Si des enfants s'entassent aujourd'hui dans des classes, peut-être que recruter un ou deux fonctionnaires supplémentaires suffirait à alléger les classes. Mais il s'agit d'enfants des quartiers nord de Marseille ! L'argent promis aux quartiers prétendument prioritaires…

Il vise à rétablir 70 millions d'euros d'aide au logement, dont le texte prévoit l'annulation au motif qu'ils n'auraient pas été consommés. Comment est-ce possible, alors que 330 000 personnes sont à la rue, et que le nombre d'enfants dans cette situation – dont les trois quarts ont moins de 13 ans – a augmenté de 48 % depuis le mois d'août ? Q...

Mme Garin a tout à fait raison : ce sont des politiques de ce genre que nous soutenons. Une amie à moi, l'une de mes anciennes camarades de classe, battue par son mari, a dû partir avec ses enfants : elle dormait dans sa voiture. Après quelques mois de ce régime, elle a déclaré un cancer, conséquence du stress quotidien. À force de garder la tê...