Interventions sur "peuple"

490 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaNicolas Dupont-Aignan :

...contexte de l'élargissement. Le début du détricotage de nos services publics et de nos politiques agricole, industrielle et énergétique correspond à l'abandon du droit de veto. Par le jeu des majorités, la France a été contrainte de céder et n'a pas pu défendre ses intérêts. Vous agitez un mythe : c'est facile. En réalité, la Hongrie, tout comme la France, a le droit de défendre l'intérêt de son peuple. Sinon, nous ne sommes plus une démocratie, et il ne sert plus à rien de voter aux élections législatives ou présidentielles. Enfin, chère collègue, affirmer, comme vous venez de le faire, qu'une participation de 50 000 citoyens, c'est la démocratie, voilà qui est tellement risible et grotesque quand vous n'osez pas consulter le peuple français depuis 2005. Avouez que c'est un peu cocasse !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJérôme Buisson :

L'article 3 de notre Constitution dispose que « la souveraineté nationale appartient au peuple, qui l'exerce par ses représentants et par la voie du référendum ». Cette mascarade sur l'avenir de l'Europe et le texte que nous examinons aujourd'hui méconnaissent ce principe fondamental de notre République. Il est inacceptable que des consultations sans valeur légale ni légitimité démocratique se substituent au suffrage des Français qui élisent leurs représentants.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Philippe Tanguy :

...u référendum de 2005 ! Tout avait commencé par la Convention sur l'avenir de l'Europe, à laquelle ont participé M. Valéry Giscard d'Estaing et d'autres personnalités qualifiées. Exactement comme avec la présente consultation, il s'agissait prétendument de trouver des sources d'inspiration. En fin de compte, ils nous ont pondu le projet de Constitution européenne, qui a finalement été présenté au peuple un peu par hasard, puisque nous savons à présent que la main du président Chirac a été pour ainsi dire forcée. Le peuple français a refusé cette Constitution, tout comme les Irlandais et les Néerlandais. Comme vous n'avez pas accepté le résultat du référendum, en passant par le Parlement qui n'aurait pas dû avoir ce pouvoir, vous avez imposé un projet issu d'une initiative qui ne devait être au d...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Philippe Tanguy :

Vous nous dites que nous nous croyons au café du commerce, mais je préfère être au café du commerce qu'au Rotary club, parmi des petits-bourgeois qui font la leçon au peuple français. Le peuple français a dit non aux petits-bourgeois en 2005 ;…

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFrédéric Mathieu :

Mais qu'est-ce que c'est que cette histoire : c'est le peuple souverain qui a voté et vous n'avez pas été « bafoué » !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaNicolas Dupont-Aignan :

…mais rappelons tout de même que la fracture démocratique actuelle remonte à ce viol de la souveraineté populaire par le Parlement. N'en déplaise à M. Bourlanges, le traité voté par le Parlement était la copie conforme de ce que le peuple avait rejeté.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaNicolas Dupont-Aignan :

La fracture démocratique, la désillusion des Français, le rejet des suffrages et la montée de l'abstention sont nés à ce moment-là. Depuis 2005, à aucun moment les successeurs des gouvernants de cette époque n'ont osé demander son avis au peuple français ! C'est incroyable ! Comment s'étonner ensuite de la fracture démocratique et du dégoût pour la politique qui existent dans notre pays ? Si vous êtes si fiers de vous, si vous croyez tant à vos panels, consultez les Français !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaNicolas Dupont-Aignan :

Jamais vous n'oserez, parce que vous savez que vous seriez battus à plates coutures par le peuple français.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

La France est désormais montrée du doigt dans le monde et par les peuples. Cela doit cesser. Membre du Conseil de sécurité de l'ONU, la France doit peser de tout son poids pour permettre l'adoption d'une résolution exigeant un cessez-le-feu pour arrêter une escalade meurtrière. Cet abandon de l'engagement historique de la France pour la paix est arrivé à son paroxysme jeudi dernier. Au Parlement européen, les eurodéputés macronistes ont voté contre la proposition des...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

Oui, d'extrême droite. Un gouvernement dont le ministre de la défense a déclaré, en parlant du peuple palestinien : « Nous combattons des animaux humains […]. »

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

Madame la Première ministre, rendez-vous compte. Il n'y a qu'en France que la solidarité avec un peuple bombardé depuis quatorze jours est criminalisée. Ainsi, votre ministre de l'intérieur – encore lui – a commencé par interdire systématiquement toutes les manifestations de soutien au peuple palestinien, pourtant autorisées partout dans le monde. Il n'y a qu'en France qu'un responsable de la CGT est arrêté chez lui, à six heures du matin, pour apologie du terrorisme du fait d'un tract appelant à ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

Il n'y a qu'en France que le président de l'Union juive française pour la paix est arrêté – à Strasbourg – et placé en garde à vue parce qu'il était présent à une manifestation de soutien au peuple palestinien.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMichèle Tabarot :

Les islamistes sont nos ennemis et les ennemis de la démocratie. Le Hamas ne veut pas la paix parce que son fonds de commerce, c'est la violence et la destruction. Ces terroristes détournent les aides internationales pour soutenir leur guerre plutôt que leur population ; ils osent même se servir du mal qu'ils font à leur propre peuple, comme lors de la frappe sur l'hôpital – dont ils sont responsables

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Louis Bourlanges :

...947, L'Assemblée générale des Nations unies décidait, par trente-trois voix contre treize, la création de l'État d'Israël tout en prenant soin de proposer l'institution parallèle d'un État palestinien qui, à la suite de la guerre qui a accueilli la décision onusienne, n'a jamais pu voir le jour. De ce vote solennel qui engage la communauté internationale date à la fois le droit imprescriptible du peuple juif à vivre dans un État libre et souverain, et le lancinant problème posé par l'émergence indéfiniment différée de son jumeau palestinien. Israël était né, Ismaël restait dans les limbes ; la tragédie prenait ses marques au cœur d'un Moyen-Orient par ailleurs déchiré par la guerre froide.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Louis Bourlanges :

Le 7 octobre dernier, cette interminable tragédie a pris un cours décisivement nouveau et d'une gravité exceptionnelle : Israël s'est trouvé confronté à une agression paramilitaire de première grandeur, menée par un Hamas résolu à piétiner tous les principes, toutes les règles, tous les usages régissant les relations entre les peuples, que ceux-ci soient en guerre ou en paix.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Louis Bourlanges :

Que pouvons-nous faire pour aider les peuples en détresse à tracer le bon chemin ? Dans l'immédiat, il faut impérativement veiller à ce qu'une contre-attaque légitime, dès lors qu'elle vise exclusivement à détruire les moyens militaires de l'agresseur, évite les deux écueils majeurs que chacun a clairement identifiés. D'abord le risque d'une escalade incontrôlée pouvant conduire à un embrasement général. Derrière le Hamas, il y a le Hezboll...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBoris Vallaud :

 « Ne pas raser, ne pas écraser, ne pas se venger », conjurait il y a quelques jours l'écrivain Dror Mishani. L'armée israélienne doit viser le Hamas, non les Palestiniens. Le peuple palestinien n'est pas le Hamas ; les civils palestiniens ne sont pas le Hamas.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBoris Vallaud :

...es espérances nées des accords d'Oslo. Ces derniers ne se sont jamais remis de la poignée de main, qui nous fit pleurer de bonheur, entre Yasser Arafat et Yitzhak Rabin. Ennemis de la paix, ils agissent comme des machines à découdre. Ces voix courageuses savent et disent que le Hamas ne veut pas de la paix, ni d'un retour à la table des négociations ; qu'il se moque des aspirations véritables du peuple palestinien et lui interdit de penser à demain en l'enfermant dans un présent sans avenir. Ces voix courageuses savent et disent aussi que l'Autorité palestinienne, déconsidérée, démonétisée et inaudible, n'a pas été à la hauteur des aspirations de son peuple. Elles savent et disent les dégâts irrémédiables, pour la démocratie israélienne et pour la sécurité du pays, d'un gouvernement d'extrême d...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBoris Vallaud :

...a paix, est à leurs côtés. Au-delà des exigences immédiates de cessez-le-feu et de désescalade qui doivent être défendues par toutes les voies diplomatiques possibles, il est plus urgent que jamais de trouver le chemin d'un dialogue politique pour la relance d'un processus de paix globale, en perdition depuis des décennies, allant au-delà d'accords séparés qui oublient parfois les aspirations du peuple palestinien. Chacun le mesure dans cet hémicycle mais il faut que chacun l'entende, il n'y a pas ici le camp des pro-Palestiniens et celui des pro-Israéliens. Les deux seuls camps qui existent dans ce conflit opposent en réalité celles et ceux qui luttent pour la paix et la justice aux propagateurs de haine et aux fauteurs de guerre. Députés socialistes et apparentés, nous réaffirmons notre atta...