Interventions sur "publique"

32 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaUgo Bernalicis :

La proposition de revaloriser de 10 % le point d'indice de la fonction publique a fait rire sur les bancs de la majorité relative minoritaire ,

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaEva Sas :

...ent faible en limitant les contributions et les fonds alloués à l'organisme chargé de la collecte et du soutien aux activités de réparation. Or nous devons envoyer des signaux plus puissants aux consommateurs pour qu'ils voient un intérêt plus important à acheter des biens réparés. Faute de pouvoir modifier le code de l'environnement, nous demandons par cet amendement d'allouer une contribution publique de 50 millions au fonds de réparation, relayant ainsi la participation encore trop faible des acteurs de la filière.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFrançois Piquemal :

... la revalorisation des APL de 10 %. Comme mes collègues l'ont indiqué, avec l'augmentation des loyers de 3,5 %, la petite revalorisation des APL sera insuffisante : pour un locataire versant un loyer de 600 euros, son montant se situera entre 7 et 8 euros par mois alors que le loyer augmentera, lui, de 21 euros par mois, soit 168 euros par an. Je vous demande donc d'écouter le Président de la République, de revenir à la raison et de voter l'amendement.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLouis Boyard :

Alors, puisque vous n'avez pas l'air d'avoir grand-chose à faire de ce tiers d'étudiants qui vit sous le seuil de pauvreté, de ces jeunes que vous avez ubérisés, des jeunes travailleurs précaires et des jeunes chômeurs, peut-être aurez-vous un peu plus de compassion pour le Président de la République. Et encore, avec 1 000 euros, il avait de la chance ! Beaucoup des jeunes étudiants précaires, des jeunes que vous avez ubérisés, des jeunes exploités à mi-temps n'ont pas la chance de vivre avec 1 000 euros. C'est pour cela que nous proposons la garantie jeunes par laquelle l'État s'engagerait à compléter le revenu des jeunes afin qu'ils ne vivent pas sous le seuil de pauvreté.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLouis Boyard :

Puisque – vous l'avez montré – vous n'en avez rien à faire de la jeunesse, ayez au moins quelque chose de faire de l'égalité entre nous et de la chance que le Président de la République a eue de vivre avec 1 000 euros par mois !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPerrine Goulet :

Nous avons déposé entre le dépôt du texte et son examen en commission de finances cet amendement qui a pour but de revaloriser les rémunérations des salariés du réseau ADMR – aide à domicile en milieu rural. Nous avons toutefois constaté, avant l'arrivée du texte séance publique, que le dispositif que nous avions voté en commission était surdimensionné par rapport aux besoins de l'ADMR. Je vous invite donc à ne pas voter l'amendement en discussion mais à voter l'amendement n° 947, que nous avons rédigé depuis et que l'une de nos collègues défendra dans quelques instants.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAlexis Corbière :

Trop souvent, depuis quelque temps, des collègues estiment qu'un amendement n'a pas sa place dans le débat, sans même argumenter sur le fond. Nous ne pouvons pas collectivement tolérer cela. Chaque amendement retenu peut être débattu, défendu et critiqué en séance publique. Deuxième point : un collègue a souligné tout à l'heure que les Français nous regardent. Vous avez le droit de considérer que les propositions qui ont été faites, notamment par mon groupe, sont de mauvaises réponses. Mais, vu de l'extérieur, la façon dont on nous a répondu n'est pas tolérable.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPerrine Goulet :

...a même mission. Il correspond à ce que nous voulons faire pour les salariés du réseau ADMR. Bien entendu, monsieur le ministre, l'amendement n° 175 ne peut être retiré puisqu'il s'agit d'un amendement de la commission. Je vous demande donc, chers collègues, de voter contre au profit de l'amendement n° 947, qui a pu être mieux travaillé, entre les réunions en commission et la discussion en séance publique, car nous disposions de davantage de temps.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaErsilia Soudais :

...ammartin-en-Goële, aucun médecin traitant n'accepte plus de nouveaux patients ; le constat est le même s'agissant des infirmiers et des spécialistes. Ainsi, plusieurs de mes élèves ont dû attendre des mois, au détriment de leurs résultats scolaires, avant de rencontrer un orthophoniste ou un ophtalmologue. Tel est le résultat d'une politique nationale qui, depuis des décennies, sacrifie la santé publique, la sécurité sociale, la médecine générale et spécialisée, l'hôpital public, la médecine du travail, la médecine scolaire ou encore les services de la protection maternelle et infantile (PMI).

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDavid Guiraud :

Vous évoquez sans cesse la maîtrise des dépenses publiques – c'est même l'un de vos arguments forts, monsieur le ministre, pour dire les choses gentiment. Si vous bloquez les prix, vous n'aurez pas, dans quelques mois, à faire des chèques lorsque les Français n'en pourront plus et qu'ils rencontreront de vrais problèmes de pouvoir d'achat, voire, pour beaucoup d'entre eux, de pouvoir de vivre.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFrançois Piquemal :

Je me doutais que le coût humain serait difficile à évaluer, parlons donc du coût économique des expulsions locatives. Avec le concours de la force publique – avec huissiers, déménageurs, policiers –, le coût des 140 000 expulsions de la dernière décennie s'élève, depuis dix ans, à 280 millions d'euros. Rappelons que vous peiniez à trouver 140 millions d'euros pour les oubliés du Ségur. L'État emploie donc l'argent du contribuable pour remettre les gens à la rue, alors qu'avec cette somme, il aurait pu payer trois mois de loyer à chaque foyer expulsé...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaChristophe Bex :

Nous sortons d'une situation inédite et unique sous la Vepublique, avec le gel de la valeur du point d'indice pendant les cinq années du quinquennat d'Emmanuel Macron.