Interventions sur "sexuelle"

25 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaÉric Poulliat :

La sensibilisation aux cyberviolences sexuelles et sexistes ne doit pas s'arrêter à la porte des écoles. Pourquoi ne pas la poursuivre dans les établissements d'enseignement supérieur ? Malheureusement, les étudiants ont pu échapper aux dispositifs de sensibilisation pendant leur parcours scolaire. Il faut continuer sans cesse la sensibilisation, y compris dans les établissements d'enseignement supérieur.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaCaroline Yadan :

... sensibilisation à l'impact environnemental des outils numériques ainsi qu'un volet relatif à la sobriété numérique. » On parle donc aux étudiants de sobriété numérique et de l'impact environnemental des outils numériques, mais on ne leur parle ni de citoyenneté numérique, ni des droits et des devoirs liés à l'usage d'internet et des réseaux sociaux, ni de la prévention des violences sexistes et sexuelles commises par l'utilisation d'un service de communication au public en ligne, ni de l'usage des dispositions de signalement de contenu illicite. Comme l'a dit ma collègue Fanta Berete, puisque l'on se préoccupe de la sensibilisation et de la formation dans les écoles, les collèges et les lycées, il est logique de prévoir une continuité dans les établissements d'enseignement supérieur. J'entends ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLouise Morel, rapporteure de la commission spéciale pour les titres Ier et II :

...tablissements, mais par de nombreuses associations. Elles sont peut-être plus efficaces : les étudiants dans l'enseignement supérieur – c'était mon cas il n'y a pas si longtemps – sont souvent plus sensibles aux arguments des associations étudiantes qu'à des sessions organisées par l'administration, qui les installe dans une salle et leur dit : « Voilà, on va parler des cyberviolences sexistes et sexuelles ». Si l'on poussait plus loin la logique, il faudrait également organiser des sensibilisations sur le lieu de travail – c'est certainement une bonne idée – et dans les associations. Mais où devons-nous nous arrêter ? Faisons plutôt confiance aux nombreuses initiatives promues par nos concitoyens, qui sont efficaces. Je ne suis pas défavorable à ces amendements sur le fond, mais je préférerais q...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFanta Berete :

Je tiens à remercier le ministre délégué. Pour ma fille de 19 ans, en troisième année d'études supérieures et ses amis, y compris les garçons qui subissent ces cyberviolences sexuelles et sexistes, l'adoption de ces amendements est importante. C'est pourquoi je suis très heureuse de la tournure que prend cette discussion. Je remercie vivement Mme Astrid Panosyan-Bouvet, l'association Stop Fisha et l'ensemble des députés signataires de ces amendements.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaNaïma Moutchou :

...t d'abord un outil. Mais la liberté n'existe pas sans la responsabilité, et c'est heureux. En droit français, la liberté d'expression n'est pas la liberté de dire tout et n'importe quoi ; elle est encadrée, même si nous en avons, heureusement, en tant que grande démocratie, une interprétation extensive. Ainsi, on ne peut ni diffamer, ni injurier, ni discriminer à raison du sexe, de l'orientation sexuelle, de l'ethnie ou de l'appartenance religieuse. Ce sont des limites à la liberté d'expression. D'où la question de l'anonymat ou plutôt de l'espèce d'atmosphère d'anonymat liée à certaines formes d'impunité. Je parle d'expérience car, dans le cadre de mon métier d'avocate, j'ai beaucoup plaidé dans des dossiers de diffamation sur les réseaux sociaux. On y diffame très facilement, et vous savez la ...