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Vous souhaitez que soit établi « un programme d'orientation et de découverte spécifique aux métiers des professions vétérinaires et assistants vétérinaires ». Même si nous avons en effet besoin de vétérinaires dans notre pays – nous aborderons plus spécifiquement le sujet lorsque nous examinerons l'article 7 –, je ne pense pas que ce programme spécifique soit utile, pour deux raisons. D'une part, dans le cadre de la découverte des métiers du vivant, de l'agriculture et de l'élevage, le métier de vétérinaire sera nécessair...
Je soutiens cet amendement, qui me permet d'évoquer à nouveau le projet de la création d'une école vétérinaire à Limoges. L'amendement à ce sujet a été jugé irrecevable, non par M. le ministre mais par l'Assemblée nationale, ce qui nous empêche d'en débattre. Le projet d'ouverture d'une cinquième école vétérinaire publique, à Limoges, dans un territoire rural d'élevage, en Nouvelle-Aquitaine, la région où il y a le plus de bêtes, mérite un engagement ministériel.
Ce soir, monsieur le ministre, vous avez l'occasion d'envoyer un signe à tous les habitants de Nouvelle-Aquitaine, à tous les professionnels du secteur, au président Rousset et à mon collègue Stéphane Delautrette ; de leur dire que vous avez entendu l'appel des territoires et que nous allons, dans l'unanimité, mener à bien ce projet utile à la région et au pays, pour qu'un nombre suffisant de vétérinaires à même de répondre aux besoins des éleveurs et des territoires ruraux soient formés en France.
Je ne peux que soutenir les propos de notre collègue Echaniz. Députée de la Haute-Vienne, j'échange régulièrement avec des agriculteurs et avec des vétérinaires. Il y a un manque cruel de vétérinaires dans les ruralités. Limoges étant au cœur d'un territoire d'élevage, il serait pertinent d'y installer une école permettant à plus d'étudiants et d'étudiantes d'accéder à cette filière de formation. J'insiste pour que cette école soit publique, comme celle où j'ai eu la chance de suivre mes études. Il faut multiplier les écoles et créer des filières dans ...
Je défends cet amendement de ma collègue Annie Genevard, retenue par les travaux d'une commission. Il a pour objet d'étendre les missions du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche agricole, agroalimentaire et vétérinaire (CNESERAAV), actuellement circonscrites, en application de l'article L. 814-3 du code rural et de la pêche maritime, aux seuls établissements publics d'enseignement supérieur agricole et aux établissements privés exerçant des missions similaires. Ces établissements privés, constitués sous une forme associative et non lucrative, concourent aux missions de service public de l'enseignement supérieu...