Arnaud Erbin, directeur international d'Engie, accompagné de M. Philippe Hochart, directeur de projet à la direction internationale, et de Mme Valérie Alain, directrice des relations institutionnelles :
Honnêtement, non. Les raisons sont vraiment économiques. Ce qui intéresse les acteurs, c'est l'investissement : combien investir, combien l'on peut espérer en tirer, etc. Il s'agit d'un consortium avec des sociétés internationales.