Le groupe considère vraiment que le risque éthique et de réputation est l'un des seuls qui puissent le détruire, et le prend donc très au sérieux. En pratique, notre réponse se situe au niveau de la gouvernance, avec ce comité du conseil d'administration qui veille au respect d'un certain nombre de règles. L'Azerbaïdjan n'est certainement pas le pays où l'on respecte le plus les droits de l'Homme – à l'instar d'autres grands partenaires commerciaux de la France…