Mes chers collègues, je me réjouis de la manière dont se déroulent nos travaux. Mais il y a eu hier un échange malheureux. Je souhaite que l'on s'abstienne d'évoquer la situation d'une personne en son absence ; or Jean-François Mancel – avec qui tout se passe très bien par ailleurs – a parlé d'une déclaration de François Pupponi en conseil municipal à Sarcelles alors que celui-ci n'était pas là. On a pu regretter cette absence, mais elle n'est la faute de personne. Afin de clarifier les choses, j'ai fait part à François Pupponi des propos qui ont été tenus, et que Jean-François Mancel aurait d'ailleurs sans doute formulés de la même manière en sa présence. Il me paraît important de donner maintenant la parole à François Pupponi afin qu'il puisse dire ce qui s'est passé.