L'amendement de Mme Massat ne mange pas de pain. Indiquer que la géographie, c'est à la fois de la superficie – la dimension horizontale –, du relief – la dimension verticale – et même, parfois, des îles, c'est très bien, mais je ne suis pas sûr, même si je ne veux pas minorer la portée de l'amendement telle que le ministre la commente, que cela révolutionne, hélas, notre affaire de découpage. Je regrette que des amendements beaucoup plus précis, de portée plus considérable, aient été rejetés et qu'au fond la présidente de l'Association nationale des élus de montagne ait cédé aux injonctions aimables de la place Beauvau,…