En ce qui concerne Fukushima, je vous renvoie à notre rapport, mais nous ne formulons pas de préconisation.
S'agissant des SCOT, je pense qu'il faut mettre plus de maritime dans tous les textes.
En définitive, je crois possible de concilier économie et préservation à condition d'avoir une politique volontaire. La France doit mettre en place une gouvernance et s'appuyer sur sa légitimité pour porter des sujets au niveau européen. Ainsi, nous trouverons plus facilement des solutions et nous pourrons promouvoir des approches écosystémiques et concertées. C'est ce fil rouge qui résume le mieux notre ambition.