Les amendements de Jean-François Lamour pour ce dossier

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Contrairement à ce que vous affirmez, Mme Kosciusko-Morizet a bien évidemment été présente lors du débat, en particulier lors de la discussion générale – en revanche, je ne crois pas que vous ayez vous-même été très présent lors de la discussion générale, monsieur Caresche !

Il est un peu dommage que l’on en vienne à s’adresser mutuellement ce genre de reproches, alors que la discussion a été relativement intéressante jusqu’à présent. Certes, je comprends que les parlementaires parisiens soient un peu tendus en ce moment, car cela ne va pas très bien pour eux (Exclamations sur les bancs du groupe SRC)…

…sur le plan national, mais aussi et surtout au niveau parisien. Puisqu’il en est ainsi, nous allons présenter les amendements qui suivent de manière détaillée, alors que nous avions initialement prévu de les présenter de manière groupée – cela nous est égal, puisque nous ne sommes pas pressés, et cela vous permettra peut-être de vous détendre...

Vous pouvez compter sur moi pour les défendre, ces amendements, car ils ont trait à un sujet qui intéresse bon nombre d’électeurs, qu’ils se trouvent dans les tribunes de cet hémicycle ou ailleurs, je veux parler de la sécurité dans le parc social, un sujet que vous n’abordez jamais, que ce soit de façon générale ou approfondie. Nous vous propo...

Vous pouvez rire, madame Lepetit, ce qui prouve bien que vous vous moquez complètement du problème que nous soulevons. Nous allons vous montrer, amendement par amendement, que nous prenons en compte la situation des habitants de certains quartiers qui n’en peuvent plus d’être confrontés aux incivilités et à l’insécurité. Pour nous, cette situat...

Nous, nous voulons nous occuper de ces quartiers et de leurs habitants, et allons donc vous présenter les amendements contenant des solutions pour eux.

Puisque tout le monde ne semble pas disposé à faire preuve de bonne volonté, nous allons détailler nos amendements un par un. L’amendement no 1296, que M. Cherki nous a fait l’honneur d’évoquer, prévoit l’obligation pour les bailleurs d’installer des équipements de vidéoprotection dans les parties communes des immeubles sensibles.

Aujourd’hui, en dehors d’un certain nombre de parkings, il n’existe aucun dispositif de vidéoprotection dans le parc social.

Il nous semble important de mettre en place un dispositif semblable à celui qui existe actuellement sur la voie publique à Paris – je parle sous l’autorité de Philippe Goujon, qui est un spécialiste dans ce domaine –, permettant de compléter l’offre existante en matière de vidéoprotection – je suis désolé d’employer un mot que vous, les représe...

Pour nous, l’installation de ces équipements est indispensable pour assurer la tranquillité des parcs de logements sociaux parisiens.

Il est assez savoureux d’entendre M. Borgel nous donner des leçons sur les élus parisiens, alors qu’il en était un lui-même – et l’est peut-être encore – tout en étant aujourd’hui député du Gard

Voilà qui est assez savoureux… Oui, excusez-moi, de la Haute-Garonne, mais c’est pareil. Il n’empêche que vous êtes un élu parisien et un député.

Oui, zéro en géographie, ma mère me le disait toujours, elle qui était professeur de géographie… Monsieur Pupponi, je partage totalement votre analyse sur la nécessité de protéger les plus défavorisés.

Je reconnais que notre approche peut vous surprendre, mais nous souhaitons installer la vidéoprotection dans les lieux communs des parcs sociaux. Tout comme nous, vous les entendez, ces habitants, qui nous disent en permanence : « Aidez-nous à faire en sorte que ces immeubles soient tranquilles. » La vidéoprotection est l’un des éléments – ce n...

On a effectivement déroulé une batterie d’amendements pour tenter d’y parvenir. Ces problèmes émanent souvent d’une seule famille, de quelques individus, qui viennent régulièrement. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) On a l’impression que vous n’y êtes jamais allés ! C’est dans cet esprit de protection des plus fragiles que nous prés...

Vous prétendez que la politique de M. Delanoë a été bonne pour le logement à Paris. Mais, les Parisiens, lorsqu’ils critiquent un aspect de son bilan, désignent évidemment, très majoritairement, l’accès au logement. Je vais vous donner des chiffres, monsieur Pupponi : en 2001, il y avait 90 000 demandeurs de logement à Paris, il y en a aujourd’...

Je tâcherai d’aller un peu plus vite, malgré les réticences et bien que la ministre se montre irrespectueuse à l’égard de l’opposition.

Nous aurions sans doute pu clore cette discussion sur un ton aussi calme que celui avec lequel nous l’avions engagée, mais vous en avez décidé autrement.

Arrêtez de parler à tout bout de champ, madame Lepetit ! On ne vous a pas beaucoup entendue ni beaucoup vue pendant le débat, c’est le moins qu’on puisse dire !

Pour ma part, j’y étais, vous ne pouvez pas dire le contraire ! Et si vous en doutez, madame la ministre, changez de lunettes ! Quand on me cherche, on me trouve !