Il a été heureux, je pense, de trouver des partenaires pour l’accompagner avec un filet sous le fil qui aurait dû le conduire au naufrage.
Une fois de plus, l’Europe a été au rendez-vous des turpitudes grecques, au rendez-vous de l’aide à un gouvernement qui, dans le passé, a truqué ses comptes publics et qui, depuis six mois, a stoppé le processus de réforme en pensant qu’on peut s’abstraire des règles européennes et de la signature de son propre pays.