Notre devoir de Français, c’est de combattre la passivité, la résignation et le fatalisme d’une Europe passoire qui n’aurait pas le droit de maîtriser les flux migratoires, qui n’aurait pas le droit d’empêcher l’entrée de terroristes qui viendraient depuis l’extérieur grossir les rangs des ennemis de l’intérieur. Vous ne pourrez pas, l’Europe ne pourra pas disjoindre le défi de la crise migratoire et le défi de la lutte contre le terrorisme.