Je ne pense pas que l'activité médicale ait été stoppée. La crise a montré une vraie collaboration, nécessaire, entre le public et le privé, notamment dans le Grand Est, où l'aide des secteurs privé et non lucratif a été capitale pour décharger les hôpitaux des patients hors covid-19, qui craignaient en effet d'attraper la maladie dans les structures hospitalières.
Je ne pense pas que nous soyons prêts pour une deuxième vague. Bien sûr, s'il fallait le refaire, nous continuerions. Mais êtes-vous prêts à nous donner les moyens et les armes, pour que nous ayons l'énergie et le courage d'aller encore plus loin ? Le Ségur, c'est maintenant ; la deuxième vague, c'est demain.