Intervention de Grégory Galbadon

Réunion du mardi 16 janvier 2018 à 17h00
Commission des affaires culturelles et de l'éducation

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaGrégory Galbadon :

Ma question porte sur l'emploi du CNRS dans nos régions. Selon les chiffres dont je dispose – pardon s'ils ne sont plus d'actualité, car ils datent de décembre 2015 –, les sites universitaires de Normandie comprennent 28 laboratoires, unités de recherche, unités de service et structures fédératives. Les personnels permanents représentent seulement 1,8 % de leurs 400 employés, ce qui est le chiffre le plus faible de France après celui de la Bourgogne. Pouvez-vous m'indiquer ce qui explique cette situation des laboratoires normands, et me préciser si elle est liée à l'existence de partenariats particuliers ?

La proportion de chercheurs du CNRS par rapport à celle d'ingénieurs et de techniciens paraît aussi particulièrement faible en Normandie : on n'y trouve qu'un peu plus d'un quart de chercheurs. Cela signifie-t-il que nos laboratoires sont dévolus à l'application plutôt qu'à l'enseignement ?

Je conclurai en citant Rabelais : « Science sans conscience n'est que ruine de l'âme ».

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