Je vous le confirme, ces objectifs sont réalistes, et les constructeurs y sont prêts, même si cela implique pour eux d'accélérer le rythme de développement ou de déploiement des technologies adéquates. Compte tenu des enjeux climatiques, ces objectifs ambitieux pour 2025 et 2030, ainsi que l'ajout d'un objectif 2050 pour définir la trajectoire, sont à mes yeux une « ardente obligation », partagée, j'en suis sûr, sur tous les bancs. C'est aussi un enjeu industriel, de défense de notre industrie face à des concurrents – chinois notamment – qui ne font pas mystère de leurs ambitions.