Intervention de Aina Kuric

Réunion du lundi 3 décembre 2018 à 15h05
Commission spéciale chargée d'examiner le projet de loi habilitant le gouvernement à prendre par ordonnance les mesures de préparation au retrait du royaume-uni de l'union européenne

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAina Kuric :

Merci, madame la secrétaire générale adjointe, pour ces différents éclairages. Il semble, au vu des éléments chiffrés et des analyses dont nous disposons que le Royaume-Uni sortirait plutôt perdant de cet accord, et qu'il le serait plus encore en cas d'absence d'accord. Le président Juncker a annoncé qu'il n'y aurait pas d'autre deal et M. Barnier a indiqué qu'un Brexit « dur » ne serait pas accompagné de mesures aussi favorables, voire plus favorables, qu'en cas d'accord. Faut-il comprendre que cela se ferait même au détriment des intérêts de notre pays et de nos concitoyens ?

Par ailleurs, quel sera le rôle de la Commission européenne durant la phase de transition ? Qu'en sera-t-il des programmes européens dont le Royaume-Uni est partenaire et du fameux rapatriement dans des États membres des équipements européens situés sur son sol ? Sait-on comment les choses se passeraient en cas d'absence d'accord ?

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