Madame la directrice générale, en 2017 les femmes représentaient seulement 31 % des personnes formées à l'AFPA. Elles se formaient majoritairement aux métiers d'assistante de vie aux familles, de secrétaire ou encore d'agente de propreté, métiers qui, semble-t-il, ne se conjuguent souvent qu'au féminin. À l'inverse, 160 femmes seulement ont choisi de se former dans l'industrie ou le bâtiment, et 25 % aux métiers d'avenir en général. L'AFPA a une mission d'insertion sociale et professionnelle des personnes les plus éloignées de l'emploi. Parmi elles, nous le savons, les femmes sont majoritaires.
Quelles mesures avez-vous prises ou comptez-vous prendre, d'une part pour accueillir davantage de femmes, d'autre part pour diversifier les formations pour inciter les femmes à se former aux métiers d'avenir, et notamment au numérique ?