Il faut définir une vision et quelques grands principes. C'est ce que j'avais essayé de porter dans mon rapport l'année dernière. Cela me semble absolument fondamental. Je le dis en permanence, si nous ne recentrons pas le droit d'asile sur ce qu'il doit être, il finira par mourir. Nous avons une responsabilité en face de cela. Aujourd'hui, c'est la grande voie d'accès. Nous ne connaissons que la demande d'asile. C'est pour cela qu'à titre personnel, je suis pour regarder la question de l'accès à la migration économique par des voies légales, afin de recentrer l'asile sur ce qu'il devrait être.