L'objet de cette proposition de résolution européenne est d'envoyer un message fort à la Commission européenne, mais celle-ci s'en tient, justement, à ses propositions. Or, même s'il y a des interactions, ni Frontex, ni l'aide publique au développement ne font partie du paquet asile.
Je ne partage pas l'analyse de Danièle Obono qui mélange l'Union européenne et le contexte national. Nous avons veillé, avec Ludovic Mendes, malgré nos appartenances politiques différentes, à refuser les postures et à écarter les problématiques nationales. Le gouvernement n'a ni guidé, ni inspiré notre proposition de résolution européenne dont les propositions découlent par ailleurs directement du rapport.