Il n'y a pas d'arrière-pensées du côté de la majorité. Nous l'avons dit, nous le répétons : nous voulons que ces scrutins se tiennent. Nous ne voulons pas que la décision de les tenir ou pas repose sur l'avis du Conseil scientifique : ce doit être une décision politique. Si jamais la situation sanitaire se dégradait très rapidement et que nous devions prendre la décision de reporter à nouveau les élections, un nouveau projet de loi serait nécessaire : l'avis du Conseil scientifique ne pourrait pas annuler au dernier moment la tenue des élections.