Les amendements de Olivier Falorni pour ce dossier

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Merci, monsieur le ministre, de votre intervention et d'avoir eu la sagesse de vous en remettre à notre sagesse. Je pense qu'elle s'est déjà exprimée et je crois que les Français l'ont vu. Vous pourrez faire tout ce que vous voulez, chers collègues, les Français ont vu.

Non, vous n'aurez pas l'occasion de faire de rappels au règlement. J'estimais utile de rappeler dans ce texte qu'il n'y avait évidemment aucune opposition dans notre esprit entre soins palliatifs et assistance médicalisée active à mourir. Je rappelle que les Belges, en 2002, ont voté en même temps une loi sur les soins palliatifs et une loi su...

J'ai donc déposé hier soir un amendement pour préciser que le droit à une fin de vie libre et choisie reposait sur une double garantie : un accès universel aux soins palliatifs – monsieur le ministre, je compte vraiment sur le plan que vous avez évoqué pour les soins palliatifs, car nous en avons besoin ; militant de l'aide active à mourir, je ...

Quand j'aurai un peu plus de temps, après l'examen de ce texte, je me lancerai dans une aventure littéraire. Si le sujet n'était pas aussi grave, ce serait grotesque. Je pense que je vais publier une sorte de bêtisier…

On verra l'utilisation que l'on peut faire du dictionnaire des synonymes : on remplace « être humain » par « homme » puis par « femme » puis par « personne humaine » puis par « être humain avec un coeur », etc. Vraiment, vous donnez une image lamentable de l'Assemblée nationale.

J'avais déposé cet amendement, un amendement transpartisan. Vous l'avez compris, ce combat que nous menons est celui de l'unité pour l'ultime liberté. Je veux à mon tour saluer tous ceux qui se sont engagés en cosignant cet amendement. Je pense évidemment aux auteurs d'autres propositions de loi : je salue à mon tour Jean-Louis Touraine,

et je ne résiste pas au plaisir de faire ovationner par La République en marche Caroline Fiat,

Je n'oublie pas que ce combat est aussi mené dans l'autre chambre, et je salue Marie-Pierre de La Gontrie, qui a mis ce sujet en avant au Sénat.