Les amendements de Pierre-Henri Dumont pour ce dossier

7 interventions trouvées.

Au 31 juillet 2017, 80 043 ménages précisément bénéficiaient de l'allocation pour demandeur d'asile. Nous avons voté pour 2018, afin de financer cette allocation, un budget de 318,1 millions d'euros, montant dont il est communément admis qu'il est trop faible ; il est déjà inférieur de 10 % au budget effectivement dépensé en 2017. Rappelons le ...

Nous avons chacun nos histoires personnelles, nos parcours de vie. Les leçons de morale à l'emporte-pièce jetées à la figure de ses adversaires politiques, on peut s'en passer. Je suis député de Calais, j'habite à côté de Calais. Je n'ai sans doute pas la même vision que vous de la question migratoire, et chacun a son parcours et ses opinions....

Nos points de vue divergent : nous considérons que l'allocation pour demandeur d'asile, attribuée par la France à une personne qui demande la protection de la France, doit servir exclusivement à subvenir aux besoins existentiels du demandeur en France ; vous estimez que cette allocation doit pouvoir profiter à d'autres que le demandeur et répon...

Cet amendement offrira à Mme Dumont une opportunité de répondre. Une fois encore, je tiens à souligner l'effort de sincérité budgétaire qui a été fait dans la loi de finances sur l'allocation pour demandeur d'asile. Le montant prévu pour 2018 s'élève à 318 millions d'euros. Cet amendement vise à limiter l'inflation budgétaire qui a été consta...

J'ai été un peu choqué par les propos finauds de Mme Chapelier, qui a remercié Mme la rapporteure de lui avoir permis de présenter son amendement en séance.

J'ignorais qu'il existât une obligation ou une interdiction – c'est selon – de déposer des amendements ! Cela dit, je vous remercie d'avoir cité le Canada en exemple, madame Chapelier. J'espère donc que vous serez à nos côtés, lorsque nous, députés Les Républicains, proposerons d'adopter des mesures prises par le Canada, à savoir l'instauratio...

… un doublement des seuils pour le regroupement familial et le fait qu'une personne ayant bénéficié de ce regroupement ne pourra pas toucher d'aide sociale pendant deux à trois ans si elle ne travaille pas.