Les amendements de Valérie Rabault pour ce dossier

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L'amendement de mon collègue Jean-Louis Bricout vise à tirer l'une des conséquences de l'importante réduction des impôts de production en créant un mécanisme de compensation pour la mission de maillage territorial dévolu au groupe La Poste. En effet, la réduction de ces impôts fait mécaniquement baisser de 65 millions les crédits de fonctionnem...

L'amendement, que nous avions déjà défendu l'an dernier, vise à rétablir les 100 millions de crédits budgétaires en faveur du développement des TPE et des PME.

Je ne le retire pas et je précise au rapporteur spécial que je ne me suis pas trompée d'amendement : j'ai fait vite, parce que j'ai écouté les consignes du président de séance. Mais, puisque vous pensez que je me suis trompée, je vais le détailler : l'année dernière, vous avez fait le choix de débudgétiser l'activité de garantie, en demandant à...

Je suis toujours surprise de voir des amendements du Gouvernement arriver après l'examen du texte en commission, surtout concernant des sujets qui n'ont pas été découverts il y a une semaine – en l'occurrence, la question des pièces en circulation date d'un an…

Cet amendement de mon collègue Potier vise le même objectif que les précédents : assortir d'un certain nombre de conditions préalables l'obtention de fonds du PIA pour faire en sorte que les projets financés soient non seulement innovants, créateurs de valeur ajoutée, mais également engagés dans une démarche durable et vertueuse. Ces critères ...

Je ne partage pas votre vision, madame la rapporteure spéciale suppléante : il s'agit d'être non pas coercitif, mais incitatif, ce qui est plus positif ; il n'est pas question de punir qui que ce soit. Madame la secrétaire d'État, je ne vois pas pourquoi vous me parlez de l'Europe : le PIA est un programme français. Le Gouvernement est libre d...

Il tend exactement au même objectif. J'en profite pour indiquer à Mme la secrétaire d'État, qui refusait tout à l'heure l'utilisation d'un score, qu'avec le label France relance, le Gouvernement a lui aussi inventé un label.

Appelez-le comme vous voulez : quoi qu'il en soit, dès lors qu'il existe un label, celui-ci est fondé sur des critères. Vous refusez notre proposition d'instaurer des critères, au motif qu'il ne faut pas en imposer, …

En commission, nous avons eu de longs débats sur cet amendement, qui a finalement fait l'objet d'une adoption sinon unanime, en tout cas soutenue par des voix de tous les groupes. Tout à l'heure, madame la secrétaire d'État, lorsque votre collègue Alain Griset était au banc du Gouvernement, nous avons été plusieurs à dire à la tribune que la c...

C'est un amendement d'appel, qui ne porte que sur 1 000 euros. Comme je l'ai expliqué tout à l'heure, la France a récupéré 800 millions d'euros d'intérêts de la Grèce ; en effet, celle-ci n'ayant pas tenu tous ses engagements, l'Europe a décidé de ne pas lui rétrocéder les intérêts qu'elle avait versés, si bien que nous réduisons notre déficit ...

Cet amendement se situe dans la logique que j'ai déjà indiquée dans mon intervention liminaire. Je souscris au fait que le Gouvernement investisse 13 milliards d'euros pour soutenir les entreprises. Néanmoins, sur ces 13 milliards, il envisage de consacrer 100 millions au désendettement de l'État. Ce dernier objectif est légitime mais, dans le ...

Madame la secrétaire d'État, je vous remercie de votre réponse. Sur les 20 milliards effectivement ouverts par la LFR2, 9 milliards ont déjà été investis dans les sociétés que je citais ce matin ; il reste donc 11 milliards. Nous sommes d'accord sur ce point. En revanche, vos propos confirment l'absurdité de ce budget, puisque vous dites que l...

Cet amendement avait été rejeté par la commission des finances. D'abord, les 99 millions d'euros sur lesquels il porte ne représentent pas la somme nécessaire à son objet. Ensuite, le Sénat a créé à ce sujet une commission d'enquête, dont les travaux sont très fournis et extrêmement intéressants. Après avoir auditionné un certain nombre de nos ...

Je m'étais exprimée à ce sujet lors de l'examen du projet de loi PACTE ; mais je me fais ici le porte-parole de la commission, qui a rejeté cet amendement.

Cet amendement a été rejeté en commission des finances, où j'ai indiqué que, dans le cadre du printemps de l'évaluation, un point serait fait sur le rôle de l'État actionnaire chez Engie, compte tenu notamment des lettres de l'APE au ministre que j'ai pu consulter sur place.

Cet amendement a été examiné et rejeté par la commission des finances. Par ailleurs, 1,2 million de Français, je crois, ont demandé la tenue d'un référendum d'initiative partagée au sujet de la privatisation des aéroports de Paris, ce qui a permis d'éviter celle-ci.

En tant que rapporteure spéciale, je suis obligée de rendre compte des avis de la commission, qui a rejeté cet amendement. Je m'étais opposée dès 2015 à la privatisation de l'aéroport de Toulouse-Blagnac et mon opposition n'a été que renforcée par les conditions dans lesquelles elle s'est déroulée. Sur le fond, je ne suis pas loin de partager l...

Cet amendement n'a pas été examiné par la commission des finances. L'État a sans doute d'autres moyens d'agir. J'émets un avis de sagesse.

Il s'agit, comme vous l'avez souligné, d'un amendement d'appel. L'État ne fixe aucun critère quant à ses choix d'investissements – ou, du moins, ne les présente pas au Parlement. Le Président de la République a invité à une relocalisation des activités relevant du secteur de la santé mais, pour l'heure, nous n'avons vu aucun investissement en c...