Les amendements de Alexis Corbière pour ce dossier

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…que nous respectons pour sa franchise, a voulu nous donner une leçon d'unité. Toutefois, une question se pose : LR, vous l'aimez plutôt Ciotti ou plutôt Pradié ?

Depuis deux semaines que nous vous écoutons, nous n'avons toujours pas compris. Êtes-vous pour ou contre cette réforme ? M. Gosselin, vous avez déclaré dans la presse que vous étiez pour la retraite à 63 ans. Ce n'est pas l'opinion de M. Ciotti. Qui faut-il croire ?

Il en va de même pour la majorité. Les collègues du groupe Horizons et apparentés sont-ils pour quarante-trois ou quarante-quatre années de cotisation ? Quelle est leur position ?

Voilà autant de divisions et de confusion, alors qu'une position rassemble la NUPES : nous sommes tous d'accord pour dire non à la réforme des retraites. Et vous ?

Or la collègue Genevard, qui est expérimentée, était déjà députée en 2013, lorsque la droite, opposée à la future loi dite du mariage pour tous, déposait plus de 5 300 amendements.

Pour notre part, nous déposerons toujours de nombreux amendements pour défendre les travailleurs, et non pour empêcher les gens qui s'aiment de se marier.

Ces amendements sont importants en ce qu'ils visent à majorer les cotisations pour les retraites des entreprises où les salariés sont particulièrement victimes de burn-out. Monsieur le ministre, je saisis la balle au bond. Vous connaissez la phrase de Boileau : « Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent a...

Donc, nous vous demandons solennellement de répondre avec clarté à cette question. Il reste une heure et demie avant la fin d'un débat majeur qui concerne des millions de Français…

Vous m'avez coupé la parole en faisant valoir que je ne m'exprimais plus sur les amendements en discussion, alors que vous l'avez donnée quelques instants plus tard au collègue Marleix qui est intervenu sur une autre série d'amendements que celle qui avait été appelée.

Monsieur le ministre, nous voulons une réponse à la question du collègue Pradié. Elle concerne des millions de gens et, pour la clarté des débats, vous devez nous apporter cette réponse, sans quoi vous n'êtes plus dans le rôle d'un ministre qui doit être à notre service, au service de la représentation nationale, et cela, ici, sur un sujet d'in...

Il vise à permettre la modulation des cotisations patronales en fonction de certains critères. Leur taux pourrait ainsi être majoré pour les entreprises qui recourent de manière abusive aux contrats précaires. Monsieur le ministre, vous avez eu l'élégance de retirer les propos que vous avez adressés au collègue Guedj, mais vous avez dit quelqu...

Étymologiquement, le terme « ministre » vient du latin « minister », qui signifie « à mon service ». Vous êtes, d'un certain point de vue, à notre service.

Vous avez employé une formule triviale tout à l'heure. En réalité, c'est vous qui avez perdu pied depuis quelques jours. Vous faites perdre du temps au Parlement en ne donnant pas de réponse précise à propos de la pension minimale de 1 200 euros. Il en va de même sur les quarante-trois ou quarante-quatre années de cotisation.

Je vous le demande solennellement, monsieur le ministre, pour ne pas tomber dans l'obstruction, faites votre travail de ministre ; répondez s'il vous plaît au collègue Guedj,…

Le ministre peut-il nous parler comme à des adultes et nous répondre sérieusement ? On n'est pas des gamins. Nous posons des questions précises. C'est un manque de respect à l'égard de la représentation nationale !

À la suite de David Guiraud, j'aimerais souligner que, parmi les marques de grandeur de ceux qui ont été applaudis tout à l'heure – les gaziers et les agents de la RATP –, figure le fait qu'ils ne manifestent pas pour eux-mêmes mais pour un statut, pour une profession,…

Vous-mêmes, vous mettriez-vous en grève non pas pour vous, mais pour défendre votre métier ? Eux le font ; c'est dire qu'il n'y a pas d'égoïsme de la part de ceux qui manifestent, mais la volonté de défendre un grand projet.

Vous parlez de la « clause du grand-père », mais c'est une expression ignoble, traduite de l'anglais, qui est née aux États-Unis à une époque où l'on refusait l'égalité des droits et le droit de vote universel dans certains États. Cette expression est profondément marquée par son origine et par l'inégalité des droits. La clause du grand-père qu...

En réalité, c'est la clause des petits-enfants que vous voulez maltraiter. Fort heureusement, à cet égoïsme, les salariés répondent : justice, égalité et solidarité. Prenez exemple sur eux !