Les amendements de Aurore Bergé pour ce dossier

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Monsieur Maudet, je vous remercie d'avoir fait un point d'étape, qui rappelle tout ce à quoi nous avons échappé, à savoir une kyrielle de taxes et d'impôts supplémentaires pour les Français…

…et les entreprises. Notre doctrine est en effet de continuer à baisser les impôts des Français. Je vous remercie également d'avoir rappelé que, grâce à un compromis très large que nous avons réussi à obtenir au sein de cette assemblée, les Français auront plus de pouvoir d'achat dès la rentrée grâce à une baisse de 50 centimes du prix du litr...

je souhaite répondre : j'ose en effet assumer l'idée qu'en tant que présidente du groupe majoritaire, il m'arrive d'être en accord avec le Gouvernement !

Il m'arrive même d'être en accord avec le Président de la République, et il nous arrive de déposer des amendements conjoints. Mais rassurez-vous, vous vous y habituerez !

Je veux dire tout d'abord au nom de mon groupe et de la majorité présidentielle que la mise en cause personnelle du rapporteur général est intolérable.

La remise en question de son intégrité ne me paraît absolument pas appropriée à notre débat, qui doit rester dans un certain cadre. Sur le fond, les élections sénatoriales ne se jouent pas ce soir et tenter de voter à la hussarde, à la va-vite, des crédits en faveur des collectivités ne me paraît pas non plus approprié au débat. Car, disons-le...

Revenons-en donc au texte, c'est-à-dire à la protection du pouvoir d'achat, dans l'intérêt des Français et d'eux seuls !

Tout d'abord, revenons à la question qui nous occupe cette semaine, celle de la protection du pouvoir d'achat des Français : c'est l'objet de nos discussions et celui du projet de loi de finances rectificative. C'est aussi une préoccupation constante de la majorité présidentielle. Quelle est la méthode pour y parvenir ? Sur la question du prix...

Ce qui compte, c'est qu'à la fin de l'examen du texte, grâce aux avancées que, les uns et les autres, nous aurons permises, les Français bénéficieront d'une baisse très importante du prix de l'essence, donc d'un gain de pouvoir d'achat.

Je veux tout d'abord rappeler l'attachement de la majorité présidentielle à l'audiovisuel public et battre en brèche un certain nombre d'idées reçues que l'on entend depuis ce matin. Le Parlement a toujours voté, chaque année, les crédits qui assurent le financement de l'audiovisuel public.

C'est une prérogative parlementaire et cela doit le rester. La redevance audiovisuelle n'est pas la garantie absolue du financement pérenne de l'audiovisuel public. En revanche, elle est un impôt qui pèse sur les Français. Or notre responsabilité est de diminuer les impôts

et d'assurer le financement pérenne de l'audiovisuel public, parce qu'il concourt non seulement à l'information, à son pluralisme et à son indépendance, mais aussi à la diversité culturelle de notre pays. Pour garantir un tel financement et assurer le niveau de ressources de l'audiovisuel public, notre amendement vise à y affecter des ressource...

Je souhaite d'abord féliciter l'engagement des parlementaires. C'est aussi grâce à la pression des parlementaires et du Gouvernement que TotalEnergies a fait ce choix, qui permet un gain immédiat de pouvoir d'achat au bénéfice des Français.

Deuxièmement, il y a un engagement de l'État. Les discussions parlementaires permettront peut-être de l'amplifier, nos futurs débats le détermineront. Les entreprises doivent également s'engager. L'amendement de notre collègue Sylvain Maillard tend à créer une complémentarité entre l'engagement de l'État pour soutenir le pouvoir d'achat des Fra...