Les amendements de Aurore Bergé pour ce dossier

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C'est évidemment le groupe Renaissance qui a demandé les scrutins publics. Si vous en avez peur, il ne faut pas déposer autant d'amendements : c'est aussi simple que ça !

Sur le fondement de l'article 100, madame la présidente. Chers collègues, vous aviez encore deux heures et demie pour rompre avec l'attitude déshonorante que vous avez observée depuis le début.

Tout au long de cet examen, vous avez méprisé vos alliés, vous avez méprisé vos partenaires, vous avez méprisé les syndicats, vous avez méprisé l'Assemblée nationale, vous avez, en quelque sorte, méprisé les Français.

Et puis, avant même la fin de la séance, Jean-Luc Mélenchon nous a adressé son message, via son site internet. Jean-Luc Mélenchon a donc décidé quand se termineraient les débats, alors même que nous étions encore en train d'examiner le texte et qu'il vous était toujours possible de retirer vos amendements. Pire, il continue de mentir au...

Vous n'avez que mépris pour vos prétendus partenaires, notre assemblée, les Français ! Je pensais que vous étiez plus insoumis que cela : vous êtes soumis à celui qui n'est même plus député et qui, à plusieurs reprises, a été battu à la présidentielle !

Plus sérieusement, je demande aux députés de la NUPES de cesser de s'exprimer au nom des femmes. Nous ne les avons pas attendus et nous n'avons pas besoin d'eux. Les femmes sont présentes sur tous les bancs de cet hémicycle. Elles savent se défendre et se faire respecter pour ce qu'elles sont !

Il se fonde sur l'article 100. Il fallait oser ! Madame Rousseau, quand on a essayé d'accuser injustement un des collègues de son propre groupe parlementaire ,

quand on a joué les procureurs, quand on a joué les magistrats, tout cela pour un règlement de comptes politique, et quand, pour essayer de contrer la réforme des retraites, on est prête à compter sur la voix d'un député qui a été condamné pour violences conjugales, franchement, il faut oser !

Rappel au règlement sur le fondement de l'article 58, alinéa 3, qui concerne précisément les rappels au règlement. Si vous voulez des réponses au sujet des carrières longues, c'est assez simple, il suffit d'examiner l'article 8. Retirez vos amendements et vous aurez enfin les réponses !

Comme l'a indiqué la rapporteure générale, une iniquité flagrante est actuellement à l'œuvre, puisque les entreprises qui font le choix de garder les seniors qu'elles emploient jusqu'à leur départ en retraite payent davantage que celles qui préfèrent s'en séparer avant par une rupture conventionnelle. Alors même que nous tentons d'améliorer le ...

Je le dis très calmement, mais aussi très fermement : il est inenvisageable que nous continuions ainsi dans cette escalade verbale. Nous ne pouvons pas accepter que l'on traite le ministre Olivier Dussopt d'assassin dans cet hémicycle.

Monsieur le président, je voudrais ajouter trois choses. En premier lieu, je crois que l'Assemblée, dans sa quasi-unanimité, vient d'apporter au ministre non un soutien relatif à la réforme qu'il défend, mais un soutien humain qui doit permettre de poser des limites entre ce qui est acceptable et ce qui ne l'est pas.

J'espère que chaque président de groupe se positionnera à ce sujet, que chaque président de groupe de la NUPES, en particulier, pourra s'exprimer pour dire clairement qu'il se désolidarise évidemment des propos qui ont été tenus et qu'il ne peut en aucun cas les reprendre à son compte, ou laisser penser qu'il les laisserait passer.

Deuxièmement, j'espère évidemment que des excuses claires et sincères seront présentées, mais pas sous la forme « je m'excuse, mais… » – non ! Des excuses, point barre.

Je pense que c'est la moindre des choses. Enfin, nous souhaitons le débat. Nous l'avons dit : nous ne voulons pas bloquer cette séance. Nous ne demandons donc pas une convocation immédiate du bureau de l'Assemblée mais nous demandons que ce sujet soit évoqué lors du prochain bureau. Finalement, ce que nous voulons, c'est débattre et voter.

Il se fonde également sur l'article 70, alinéa 6. Nous ne laisserons passer aucun comportement qui dégrade notre assemblée ! .

Nous exigeons des excuses de votre part pour les propos que vous avez tenus et pour l'attitude provocatrice qui est la vôtre ! Nous ne laisserons rien passer ! Jamais !

Qui se fonde sur l'article 70, alinéa 2, de notre règlement. Madame la présidente, j'apporte mon soutien aux décisions que vous prenez dans cet hémicycle tumultueux. Chers collègues, vous avez pour la présidente de l'Assemblée nationale une admiration à géométrie variable.

Vous qui louez souvent l'impartialité avec laquelle elle occupe son rôle, vous devriez également la soutenir lorsqu'elle fait observer le calme en séance. D'autre part, j'observe que vous en venez désormais à donner lecture de discours écrits. Vous manquez tellement d'imagination qu'il faut que vous écriviez « vous êtes des monstres », ou enco...